Atelier spécial
Datte: 25/07/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... ma carte bleue. Tout est parti en fumée.– Tu n'en a plus besoin, maintenant que tu es notre esclave.– Mais...– Tais-toi, a aboyé Sandra en cinglant mon dos d'un premier coup de fouet qui m'a coupé le souffle ! Et baisse les yeux en signe de soumission. Tu parleras seulement quand tu y seras invité. Compris ?– Mes papiers, dis-je doucement.J'ai reçu encore deux coups de fouet, plus rudes que le premier, qui ont laissé de longues stries sur mon dos.– Tu n'en a plus besoin, maintenant, m'a expliqué doucement Jade. Un esclave n'a pas besoin d'un nom. Puisque tu es notre douzième victime, tu t'appelleras désormais Douze. Que cela te plaise ou non. Tu n'as plus besoin de vêtements, non plus. La nudité convient très bien aux garçons condamnés à nous servir. Tu ferais mieux de renoncer dès maintenant à toute dignité personnelle : tu n'y as plus droit. Tu n'as plus aucun droit, d'ailleurs, sinon celui de te soumettre. Tu étais bien d'accord, tout à l’heure ? D'ailleurs, tu as signé : il est trop tard, maintenant. Si tu es sage, dans quelques années, nous allons t'affranchir ; mais je crois qu'à ce moment-là, tu ne seras plus qu'une loque humaine. Quant à ta carte bleue, n'ai crainte : je l'ai récupéré, la voici, a-t-elle dit en exhibant le rectangle de plastique. Il ne nous manque que le code pin, mais tu ne vas pas tarder à nous l'indiquer, n'est-ce pas, Douze ?– Jamais, lui ai-je répondu en la regardant droit dans les yeux. Vous pouvez me faire subir tout ce que vous voulez, jamais ...
... je ne vous donnerai ce code.– Oh, dit Sandra, chic, un rebelle ! Génial !– Regarde, m'a dit Jade : nous avons un magnifique fauteuil de torture, que nous avons construit nous-mêmes. Installe-toi dedans. Tu verras, il est inconfortable à souhait, et les traitements que nous allons t'infliger te rendront fou très rapidement, de sorte que tu parleras : je te le garantis.– De plus, a ajouté sa maman, tout le monde autour peut te voir. Regarde : il y a foule, aujourd'hui, pour assister à ton supplice. Ce sera très... excitant !La dame, qui s'appelait Christine, tenait un vibromasseur en mains et commençait à se déshabiller, avec l'intention manifeste de se masturber pendant qu'on me torturait. Je me suis installé de moi-même, sans résistance, dans le terrible fauteuil. Je bandais au maximum, très excité à l'idée de tout ce que ce groupe allait me faire subir. Cet équipement permettait d'immobiliser mes membres d'une manière parfaite, bras et jambes largement écartés, de sorte que mon sexe était bien exposé et facilement accessible. Comme j'avais le bassin relevé, mon anus était également vulnérable. Moi qui a toujours été un garçon pudique, je rougissais de cette exposition publique de mes parties intimes.Jade a pris un mètre ruban pour mesure la taille de mon sexe, valeur que Sandra a écrite en très gros au feutre rouge sur un tableau blanc, avant de tourner celui-ci vers le public, afin de que tout le monde connaisse la longueur de mon pénis en érection. Applaudissements depuis ...