1. Cet été là


    Datte: 14/07/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    Un bruit mat presque claquant, un grognement sourd, un gémissement voilà les bruits qui se répètent et emplissent la pièce depuis une dizaine de minutes. La maison de Vincent, de ses parents, nous sommes un vendredi, le premier vendredi depuis son retour; Quatre semaines d'absence, quatre semaines avec ses parents sur l'ile de Madère, quatre semaines loin de moi. Nous sommes seuls dans la grande maison; eux, ses parents, sont repartis comme presque chaque weekend dans leur appartement au bord de mer... Lui, mon grand brun, est resté seul ici... Seul, jusqu'à ce que je le rejoigne; ses doigts fins et longs glissent sur mon dos, du creux de celui-ci jusqu'à mes épaules en passant par le long de mes flancs, sur mes omoplates. Là, sur mes épaules, ses doigts se crispent, s'agrippent à moi et avec toute sa force me tirent en arrière alors que son corps se cabre, que ses hanches se jettent en avant, propulsant en moi ses dix-huit centimètres de chairs bandées. Résonnent alors ce bruit mat, claquant de son bassin entrant en collision avec mon postérieur, de ses bourses se frappant à la raie des mes fesses, se tapant contre les miennes. Il pousse un long râle de plaisir, je gémis de bien être. Ses mains glissent à nouveau dans mon dos, ses doigts se pressent le long de ma colonne vertébrale alors qu'il reste au fond de moi de longues et délicieuses secondes avant de se retirer lentement, presque entièrement et de se cabrer à nouveau. Comment en étions nous arrivé là ? J'étais à ...
    ... peine arrivé chez lui qu'il me tirait vers sa chambre, nos vêtements tombant les uns après les autres. Nu, il me plaqua contre le mur, m'embrassant dans le cou, cinq semaines, cinq semaines qu'il ne m'avait touché, qu'il ne s'était touché, qu'il n'avait éjaculé, me murmura-t-il. Pas vraiment romantique, mais tellement prenant de savoir qu'il me désirait ainsi. Il n'y avait pas de romance entre nous, juste une amitié indéfectible et un partage de nos corps, offrant l'un à l'autre se dont nos corps d'adolescents avaient besoin sexuellement. Ses mains se crispèrent sur mes épaules, poussant légèrement, me guidant sur mes genoux et son entrejambe vint épouser mon visage, son sexe dur se frotter à ma peau. Mes narines s'emplirent de son essence, de son parfum, de cette odeur si unique, si affriolante. Mes lèvres posèrent mil et un baisers sur ce chibre tendu et ses bourses bien gonflées. Ma langue glissa dessus, humidifiant chaque centimètre carré de ce membre dressé. Ce gland décalotté glissa dans l'antre de ma bouche, poussa au fond et se fraya un chemin dans ma gorge, un râle de bien être vint de ses poumons, résonant à mes oreilles alors que je tétais son sexe bandé, mes mains courant le long de ses jambes. Il me laissa faire deux ou trois minutes avant de presser une main sur mon front et de faire un pas en arrière, laissant son sexe glisser à l'air libre. "A moi." dit-il en me souriant, "A toi" lui répondis-je. Vincent s'éloigna et prit dans sa commode un pot de gel lubrifiant, ...
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