Christine II : Retour de flammes (1)
Datte: 14/07/2018,
Catégories:
Hétéro
** Ce récit est la suite de "Christine I : Prémices et frustration" ** Novembre 1999. J’ai fini mes études et travaille désormais dans une fiduciaire. Durant une pause de midi, je me rends au centre commercial qui jouxte mon lieu de travail pour y faire un peu de shopping. Dans un magasin de vêtements, alors que je traverse la confection femme, je tombe nez à nez avec Christine. Elle n’a changé que de coupe de cheveux (carré court en pointe), sinon elle est exactement la même. Elle porte un pantalon de tailleur noir et une épaisse veste de motarde. Au milieu des vêtements, nous commençons à discuter, prendre des nouvelles l’un de l’autre. Je ne me souvenais plus de son sourire si chaleureux, si communicatif, et de son charme. Elle m’apprend qu’elle travaille à 60% au sein d’une association sportive. Elle m’indique également qu’elle est célibataire depuis quelques mois. Je lui annonce également mon célibat et quand bien même elle dit compatir, cela ne semble pas tout à fait sincère. Nous échangeons nos numéros de téléphones. J’ai une chemise dans la main, elle a un top et, tout en continuant à papoter, nous nous dirigeons vers les cabines d’essayage qui sont toutes occupées. Lorsque l’une des cabines se libère, sans nous concerter, nous y entrons ensemble. Dedans, nous nous embrassons à pleine bouche. Longuement. Quatre ans après, comme si c’était hier. Après quelques tendres mots, Christine retire sa veste et je découvre un joli chemisier court rose pâle. Le miroir est ...
... derrière elle et j’en profite allègrement pour regarder son postérieur moulé dans un pantalon étroit. Elle le remarque : — Héééé ! — Je crois que je suis toujours amoureux de tes fesses. Elle rit et déboutonne son chemisier : — Regarde un peu par là, alors !! J’obéis et découvre le joli soutien-gorge rose qui orne sapoitrine. Je lui dis qu’elle a de beaux seins. J’avais également oublié comme Christine pouvait rougir. Le privilège des rousses. Tandis que je retire mon pull-over et mon t-shirt, elle enfile son top et se tourne face au miroir. De mon côté, je constate immédiatement que la chemise me va très bien, Christine confirme. Derrière elle, mes mains glissent sur ses hanches, sa taille, puis remontent sur son top jusqu’à ses seins. Je la pelote doucement, elle pose ses mains sur les miennes et apprécie : — C’est vrai que je te plais encore ? — C’est clair, tu es toujours aussi excitante. Christine descend sa main derrière elle etcaresse mon sexe à travers mon pantalon, visiblement intéressée. Elle dit : — Il faut que je retourne au travail, je suis déjà en retard. Je t’invite à souper. — Volontiers, quand tu veux. Elle se tourne, nous nous embrassons, mais elle garde une main sur mon sexe. Elle dit : — Une minute de retard de plus ou de moins… lmxljjbc Christine ouvre mon pantalon avec une rare habileté, sort ma trique, se penche dessus et me pompe très vivement. Une fellation sublime. Une fellation devant le miroir. Une fellation hyper excitante. Elle se redresse, m’embrasse ...