ALICE, FABIEN ET VINCENT (2) : LE PLAN A TROIS
Datte: 14/07/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... fait réapparaître Vincent pour qu’il soit son Maître virtuel pendant un jour. Pour être sûr de sa soumission totale, je lui ai envoyé, sous le nom de Vincent bien-sûr, un premier scenario où je lui demandais de le rejoindre au jardin pendant la pause déjeuner et qu’elle devrait le sucer la queue dans les fameuses toilettes. Quand elle a répondu « Oui, Maître », je lui ai envoyé un deuxième mail où je la félicite de sa soumission et lui explique que c’était juste un test et donc qu’elle n’allait pas avoir à me sucer. Dans le vrai scenario qui a suivi, je lui ai dit d’aller quand même au jardin, sans son string, et d’imaginer des choses cochonnes avec d’autres joggeurs avant d’aller se masturber aux toilettes. Oui mais voilà, quelque chose que je n’avais absolument pas prévu arriva : tu étais là en chair et en os ! Quand j’ai vu les mails de réponse d’Alice et vu ton post, j’ai tout de suite compris le truc. Le must c’est que le soir, quand Alice a envoyé à « Vincent » son journal de bord où elle raconte tout en détails, j’ai bandé comme un fou alors qu’on venait de baiser comme des bêtes. Je me suis découvert une facette candauliste que je ne me connaissais pas. Finalement, je serai même ok pour lui faire la surprise d’un plan à trois avec toi pour son anniversaire qui arrive bientôt. Est-ce que tu serais partant ? Si oui, réponds-moi par retour de mail et on s'organise ça. Fabien. » La nouvelle me scies, jamais je n'aurai cru que cela puisse m'arriver un jour! Si je suis ok ...
... pour un plan à trois avec une nana pareille? Je veux, oui! Rendez-vous est pris pour le samedi soir chez eux. Je me gare dans la rue comme Fabien me l'a suggéré. Je vérifie le nom de la boite aux lettres avant d’entrer chez eux. Le portail est fermé mais pas verrouillé comme on m'avait dit. Je monte à pas de loup l'escalier qui mène à leur porte et j'attends après avoir sonné. Mon coeur bat la chamade et je bande déjà rien qu'à l'idée. Alice vient m'ouvrir. J'ai plus de loisir de la détailler. Elle porte un kimono en soie rouge bordeaux qui lui arrive au-dessus des genoux. Je devine qu'elle est nue dessous, à voir ses tétons pointer sous la fine étole. Elle est plus jolie que dans ses vêtements de jogging, féminine. Menue, petite poitrine, les cheveux lâchés en un carré long, des jambes fuselées. Elle est maquillée légèrement avec un trait de khôl autour des yeux. J'ai envie de plonger mes mains sous son kimono et de lui remonter le long de ses cuisses qui semblent d'une extrême douceur. Elle m'embrasse sur la bouche tout en m'enlevant mon manteau. Sa langue recherche la mienne et je réponds sans hésitation à son invitation. Je la sens chaude contre moi et mon sexe durcit sous cette caresse. Elle me lâche, à mon grand regret, pour m'entraîner vers le salon où Fabien se trouve déjà. Je suis beau gosse mais il n'a rien à m'envier. Grand mais un peu plus petit que moi, large d'épaules, il dégage un charisme impressionnant. Un feu brûle dans l’âtre et donne des couleurs mordorés à ...