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DAMIEN VI
Datte: 15/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme
... gland contre mon trou. Mon cul s’ouvre maintenant sans difficulté. Le sexe s’enfile en souplesse dans mon intimité. L’arabe pousse son engin au fond de mes entrailles. Mon cul avale la totalité du morceau sans aucun problème. - Allez Damia au turf ma petite pute. Fais bien plaisir à nos deux amis. Je me suis laissé utiliser par mes deux trous devant Khaled. C’était la première fois que je me faisais limer par deux parfaits inconnus. J’avais une bitte dans la bouche et l’autre plantée dans mon cul. J’imaginais Khaled en train de regarder la scène et savourant son emprise sur moi. Je suis sûr qu’il devait bien bander en voyant son ami le français se transformer en pute. - T’es une bonne tapette, dommage que Sylvie n’est pas là. Les deux arabes ne disaient rien, se contentant de me bloquer la bouche et le cul. Donnant des coups de reins vigoureux qui envoyaient leurs sexes au fond de mon être. J’avais du mal à garder la position sur ce ballot de linge. C’est eux qui me tenaient. Ils haletaient en crachant des interjections dans leur langue. Ils me traitaient comme une chose, un objet. Ils m’utilisaient pour leur plaisir. - Ils disent que t’es qu’une putain à qui ils vont éclater le cul et la bouche. Les mecs ont ralenti la cadence. Ils faisaient coulisser leurs centimètres de chairs brunes doucement. - Ils veulent profiter à fond d’une bonne salope comme toi. Avec leurs femmes, ils ne peuvent pas faire ce genre de trucs. Nos femme sont trop pudiques pour accepter ce genre de ...
... chose. Au bout d’un moment les bittes m’ont libéré. Je me suis affalé sur le sac de linge sale. Mais ils ne m’ont laissé aucun répit et m’ont retourné à plat ventre. Ils n’avaient même pas ôté leur pantalons qui tire-bouchonnaient sur leurs chaussures de ville impeccablement cirées. Les pans de leurs chemises blanches cachaient leurs fesses et leurs bas-ventres. Leurs sexes bruns et circoncis pointaient fièrement. Ils avaient même gardé leurs cravates. Les bittes dures et luisantes qui sortaient des pans de leurs chemises, ressemblaient à des armes. La lune éclairait bien la pièce. Le linge sentait fort malgré l'aération. Un des mecs s’est mis à genoux au-dessus de ma tête, m'emprisonnant le crâne entre ses cuisses musclées. Il était très poilu. Il s’est baissé et ses couilles se sont posées sur mes lèvres. Il était presque assis sur mon visage et frottait ses fesses velues contre ma face. Mon nez plongeait dans sa raie. Il s’est mis a frotter son cul sur ma bouche. L’odeur de merde et de sueur était suffocante. J’avais du mal à respirer. - Sa femme lui a toujours refusé ça. Tu vas lui faire plaisir et lui bouffer le cul comme une professionnelle. L’autre m’a levé les jambes à la verticale. Le mec assis sur moi m’a saisi les chevilles pour tirer mes jambes vers lui, faisant passer mes mollets derrière lui et les bloquant derrière ses bras. J’étais cassé et plié en deux. J’avais un mal fou à respirer. La position qu’ils m’avaient fait prendre dégageait complètement ma raie. ...