Gwendoline, le loup-garou et moi (2)
Datte: 15/07/2018,
Catégories:
Zoophilie,
... antérieure et nous montrèrent des bouts rouges en train de sortir de leur fourreau et prendre de belles proportions. - Ah Gwendoline, je vois que c’est vraiment toi la plus salope. T’as envie d’essayer. Tiens mets toi à qutre pattes sur le transat là... Ouais. Tiens... prends celui-là. Et aussitôt, un mâle la grimpa. - Ombeline, aide le loup à saillir ta copine voyons ! Je passai ma main sous le ventre du monstre, saisi la pine qui palpitait entre mes doigts et l’aidai à trouver le chemin de la vulve ou elle s’enfonça au grand plaisir de Gwendoline. - Aller, à ton tour maintenant. Je me mis à quatre pattes aussi. Maxime comprit mon appréhension aussi demanda-t-il au loup de me prendre doucement. L’animal vint renifler mon cul et je sentis le souffle sur mes fesses puis il cola son museau contre moi et se mit à me lécher. Puis il monta sur moi fébrilement, me griffant au passage et m’arrachant un cri. Maxime déposa sa pine sur la blessure. Je sentis la mouille et la douleur disparut. La semence du loup-garou était un baume puissant, un onguent miraculeux qui guérissait les plaies faites par les animaux. Pendant que Maxime insérait son sexe entre le ventre du loup et mon dos pour calmer ma blessure, l’animal avait trouvé mon orifice et y était entré en douceur. Il était au fond. Du liquide s’écoulait et la base de sa verge enflait en me dilatant fortement. L’impression était délicieuse. Je me mis a souhaiter lécher cette grosse queue et, à l’instant même, comme si ma demande ...
... avait été transmise de mon cerveau à celui de Maxime et de Maxime à l’un des quadrupèdes, il en vint un se coucher devant moi, sur le dos m’offrant une grosse tige rouge à bouffer. Je n’hésitais pas longtemps, j’aspirai vigoureusement cette bite animale au goût très fort en profitant bien de celle qui se délestait sans interruption de son jus dans mes entrailles. Gwendoline, elle, toujours couverte par un mâle vigoureux qui n’épargnait pas ses mouvements, pompait frénétiquement l’énorme pieu de notre loup-garou qui semblait encore plus à son avantage que la première fois. Faut-il rappeler que nous communiquions par télépathie, ce qui procure le double avantage de gagner du temps et que le partenaire comprenne les désirs sans qu’on ait besoin de trouver les mots pour les formuler, tout en parlant même avec un bon gros pieu dans la bouche. - Alors les filles, ils vous plaisent mes copains ? - Trop ! Répondîmes-nous unanimement. - C’est de la bonne queue ? - C’est clair, dur gros.... mais ça ne vaut pas la tienne. - Mais c’est mieux qu’un homme ? - Plus long, plus ferme, plus foutreux, mais moins mobile. Dit Gwendoline qui précisa qu’elle se ferait bien prendre ainsi plusieurs fois par jour. - Dommage que tes potes ne puissent pas nous dire ce qu’ils en pensent. Précisai-je. - Moi, je le sais. Ils vous prennent pour des louves et celui qui te grimpe est satisfait de perdre son pucelage. Il trouve que tu es trop bonne et que tu te comportes très bien sous lui. Quant à celui que tu ...