1. 46.15 Envie de jouir… en lui…


    Datte: 15/07/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    C’est excitant… terriblement excitant… et dangereux… insoutenablement excitant car aussi dangereux… ce que je sais c’est que dans l’état d’excitation qui est le mien et qui ne cesse pas de grimper, je ne vais pas tarder à venir… à lâcher mon jus sur sa rondelle… je suis happé, coincé entre ses fesses… j’ai terriblement envie de jouir… j’ai horriblement peur de jouir et des conséquences que cela va avoir quand il va s’en rendre compte… J’ai le cœur qui bat à mille à l’heure tellement mon excitation est débordante… tellement le frottement de ses fesses serrées autour de ma queue, les tapotements de mon gland sur son ti trou me procurent des sensations de fou… Oui, mon cœur s’emballe… mais soudainement, il semble s’arrêter… c’est lorsque je sens les muscles de ses fesses se relâcher… lorsque, à la faveur d’un mouvement un peu plus puissant de son bassin, son ti trou semble céder à la stimulation… lorsque le bout de mon gland semble aller un peu plus loin, vaincre la petite résistance de l’entrée de son intimité… Un peu plus tôt cette nuit là… Je me rends compte que c'est pour ça aussi que je l'aime, ce petit mec… c’est parce qu’il peut être parfois touchant jusqu'aux larmes, mon Jérém... aussi profondément touchant qu’il est intolérablement sexy dans certaines circonstances ou insupportablement macho dans d'autres... 50 et une nuances de mon beau brun… Et puis Jérém a cette phrase que je n’oublierai jamais : «Le rugby, c'est l'histoire d'un ballon avec des copains autour… et ...
    ... quand le match est fini et qu’on range le ballon, il reste les copains…». Dans cette simple phrase, je ressens toute la solitude de ce garçons d’ordinaire à l’apparence si sûr de lui… je perçois toute l’importance de la camaraderie avec ses potes, de ce besoin de chaleur humaine, de proximité, de partage… ce besoin de la proximité de Thibault par-dessus tout… J’ai envie de pleurer. J’essaie de me retenir. Je le serre un peu plus à moi… j’enfonce mon visage dans son cou… sentir l’odeur de sa peau fraîchement douchée, c’est avoir envie de goûter à sa peau... envie de lui faire des petits bisous dans le cou, des bisous tout doux… je me lâche, mes lèvres se posent à nouveau à la lisière de ses cheveux bruns, courts et doux… je le sens remuer un peu… mais c’est juste pour se caler encore mieux dans mes bras… il a vraiment envie de câlin… « Il ne fait pas chaud… » lâche-t-il, quelques mots qui ont tout l’air d’une excuse maladroite… Mon Jérém qui se confie un peu, qui se plait dans mes bras… qui se laisse faire des bisous… je suis ému que j’en pleure… je pleure en silence, dans le noir, je n’arrive plus à me retenir… Un filet de larmes glisse sur ma joue et coule sur son épaule. Il s’en rend compte. « Qu’est ce qu’il t’arrive ? Tu chiales ? » me balance-t-il. Furieuse envie désespérée de lui dire que je l’aime comme c’est pas possible d’aimer, que je tiens à lui plus qu’à moi-même, que je ferais tout pour lui, tout et encore un peu plus, qu’il me touche, qu’il me fait vibrer, qu’il ...
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