1. Je déniaise le (beau) fils de ma meilleure amie. Chapitre 3. Maintenant elle veux en profiter aussi


    Datte: 15/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... dressée, toute à ma disposition dorénavant et je n'ai plus besoin de fantasmer sur sa taille. J'en ai plein les yeux et ...plein les mains. Son sexe palpite contre ma paume et je suis enivré par mon acte, ma langue passe sur mes lèvres gourmandes, mon regard figé sur le membre imposant que j’avais deviné de bonne taille l’autre nuit, mais je m’aperçois maintenant qu’il est vraiment colossal. Il ne se doute pas encore que c’est une autre personne qui le branle, complètement pris par son cunnilingus. Mes deux mains courent sur son rostre dont le mufle s’est décalotté, j’approche mes lèvres et happe avec gourmandise cette grosse quetsche qui remplit à elle toute seule ma bouche. Ma langue s’active comme elle peut dans le peu d’espace disponible. J’essaie d’en accueillir le plus possible mais mes lèvres atteignent à peine la moitié de cette hampe magnifique. Je pourrais passer des heures à la câliner, la caresser, la sucer. Soudain Claude se fixe et essaie de parler mais Julie appuie encore plus sa chatte sur la bouche et lui ordonne de continuer. -Esclave, je ne t’ai pas dit de t’arrêter et je t’avais promis une surprise, ne te laisse pas déconcentrer et applique-toi mieux. Tu n’es plus à ce que tu fais ! Récit de Claude. Que ce passe-t-il ? Je suis en train de brouter le minou de ma Maîtresse et une bouche en feu est en train de me sucer le dard avec une science d’experte, c’est encore plus voluptueux qu’avec Julie. Une deuxième personne applique sur ma bite une fellation ...
    ... d’enfer, à ce rythme là, je ne vais pas pouvoir résister bien longtemps. Julie m’avait bien dit qu’elle me ferait découvrir quelque chose de nouveau mais je ne m’attendais pas à ça ! L’inconnue vient de stopper son travail, ouf, il était temps car j’allais lâcher la purée ! Mais à peine le temps de faire redescendre la pression dans ma queue qu’une chatte beaucoup plus serrée que celle de Julie prend le relais de la bouche merveilleuse. L’inconnue monte et descend sur ma hampe en serrant incroyablement fort ses muscles intimes. J’ai la queue comme prise dans un étau, broyée par son fourreau brûlant, l’effet que je ressens est au-delà de l’imaginable. On dirait que ma verge s’enfonce à chaque fois dans une gaine étroite à la résistance folle qui se contracte par à-coups obturant quasiment le passage. Son vagin se resserre sur ma teub pour mieux la masser, la pétrir, s’enfonçant toujours plus profondément et la lubrifie copieusement avec son jus magique. Elle accélère le mouvement de son bassin, s'empalant avec frénésie sur mon pieu qui la pourfend. Elle râle à chaque intromission dans sa chatte gorgée de mouille: – Oui !... Oh oui !... Ooui !... Encore !... Oh oui, j'aime cette grosse queue, Oouuiii !... Je vais te vider les couilles, te faire jouir !... Tu vas décharger ta liqueur... Tu vas me remplir ma chatte... Ooohhh... C'est trop bon !.... Je n'en reviens pas de ce langage trivial. Encore pire que celui de Julie. La voix de la femme qui me chevauche avec fougue sur mon ...
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