Visite du chateau de Roncenard
Datte: 15/07/2018,
Catégories:
ffh,
fsoumise,
contrainte,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
fgode,
donjon,
coupfoudr,
initfh,
sm,
... sans ménagement. Sans perdre un instant, il ouvre les larges bracelets de métal autour de mes poignets et m’enchaîne, introduisant les goupilles dans le dispositif de verrouillage. Je le laisse faire, songeant que bien d’autres femmes ont déjà été enchaînées ici. Quels supplices ont-elles subis ? Je n’ose y penser réellement. Julien vient d’enchaîner mes chevilles. Il déboutonne mon chemisier, écarte les pans et embrasse mon ventre. Mes seins sont extirpés des bonnets de mon soutien-gorge qu’il laisse toutefois attaché autour de mon thorax. Julien caresse puis pince les bouts qui se crispent et pointent. Je suis à sa merci et brusquement, je réalise combien cela est dangereux. Quel sort me réserve mon amant ? L’angoisse me tétanise tandis qu’il fouille dans les objets, trop nombreux et tous plus ou moins barbares, que recèle cette salle de tortures. Je tends mon cou pour tenter d’observer ce que fait mon bourreau. Après quelques instants, celui-ci revient en tenant un gros martinet dans une main et une énorme tenaille dans l’autre. Les longues lanières de cuir du martinet ondulent au bout d’un manche issu de leur tressage. Julien l’approche tout près de mon visage, faisant danser le bout des lanières sur mes seins. Il tente de m’impressionner et d’une voix ferme aux intonations graves, il me somme une dernière fois : — Allez, avoue que tu es affreusement jalouse ! Une pensée pour tous ces gens, qui, dans une autre époque, ont été torturés ici, peut-être même sur cette roue ...
... qui me retient prisonnière, traverse mon esprit. Je me sens étrangement solidaire de leur martyre. Alors, par défi, à moins que ce soit pour voir jusqu’où Julien est capable d’aller, je relève fièrement la tête et je déclare : — Je n’ai rien à te dire bourreau de malheur !!! Et je lui crache au visage. Julien est surpris par le jeu que je joue. Il recule, s’essuie lentement le visage, prend un air extrêmement sévère et dit : — Puisqu’il en est ainsi, tu vas subir ta sentence ! Les lanières de cuir s’abattent aussitôt sur mon ventre. Je crie comme si une douleur insupportable déchirait ma peau, pourtant il n’en est heureusement rien, mon bourreau prenant soin de retenir suffisamment ses coups pour ne provoquer qu’un échauffement de ma peau. Je relève la tête et le défie insolemment du regard. Julien poursuit la torture. Mon ventre rougit sous les petites morsures répétées du cuir. Mes seins ne sont pas épargnés et, à partir de ce moment-là, l’excitation sexuelle latente, qui couvait en moi, se répand en moi et prend possession de mon corps. Julien frappe ventre et seins en alternance. À chaque coup, je contracte tous mes muscles pour atténuer la douleur et ces contractions se répandent comme une traînée de poudre à travers mon système nerveux, atteignant mes zones sensibles qui m’envoient des ondes de plaisir comme si elles voulaient m’aider à subir mon sort. Les coups s’arrêtent. Mon ventre est recouvert par les pans de ma jupe. Julien approche l’énorme tenaille de la fourche ...