Visite du chateau de Roncenard
Datte: 15/07/2018,
Catégories:
ffh,
fsoumise,
contrainte,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
fgode,
donjon,
coupfoudr,
initfh,
sm,
... Anne en me mordant l’oreille. Le « NON » que je tente de prononcer, s’étrangle contre le morceau de bois qui obstrue toujours ma bouche alors je balance la tête de gauche à droite pour communiquer mon refus, écartant également par ce geste le visage d’Anne qui se lovait contre ma nuque. Pourquoi n’avouerai-je pas pour faire cesser ce jeu idiot ? Je ne peux même pas y répondre moi même. J’ai l’impression d’être toujours la petite fille qui refusait, jadis, de goûter les haricots verts, préférant subir les punitions infligées par mes parents plutôt que de céder. Pourtant, je n’avais aucune idée du goût qu’ils pouvaient bien avoir toutefois, un jour j’ai compris que ce refus de goûter n’était en fait qu’un moyen de tenir tête à mes parents. J’ai l’affreuse sensation de m’obstiner de la même façon avec Julien et je suis prête à braver encore ses menaces. Calmement, il annonce : — Dans ce cas, une bonne correction s’impose ! Il désigne les pinces et Anne abandonne ses caresses. Elle s’empare des deux petits instruments, ouvre leurs mâchoires qu’elle laisse se refermer sur les pointes érigées de mes seins. Elles sont écrasées juste à la limite de la douleur. Au même moment, Julien m’assène un coup de cravache, directement sur mon intimité. J’étouffe un cri de douleur. Il tend la cravache à Anne en cherchant la capitulation dans mon regard. Je ne cède pas. Anne se baisse et commence à actionner un dispositif mécanique complexe, composé d’énormes engrenages, et voilà que la roue qui ...
... me retient prisonnière se relève. Au début je suis soulagée de ne plus sentir les horribles rayons de bois meurtrir mon dos, mais je dois faire face à une autre menace. En effet, le gland en marbre du godemichet appuie de plus en plus fort contre mon anus. À la force des bras, je parviens à me soulever pour éviter qu’il ne force l’étroit passage. Je lutte pour ne pas m’empaler tandis qu’Anne, la cravache à la main, passe derrière moi et commence à frapper à travers les rayons de la roue. La bougresse frappe plus fort que Julien. Elle frappe mon ventre, ose s’attaquer au renflement de mon mont de Vénus, martyrise mes fesses puis y dessine du bout de la cravache les marques rouges que les coups ont gravées avant de frapper à nouveau, plus violemment encore. Je sanglote, mais je ne cède toujours pas. Des gouttes de sueur coulent jusque dans mes yeux. Je ne vais pas pouvoir tenir longtemps ainsi tendue sur mes bras et le gland froid de la pierre devient de plus en plus menaçant. Julien fait cesser les coups de cravache et amène Anne jusque devant moi. Il la renverse et se positionne derrière elle, la poussant tout contre moi. Elle cambre les reins et écarte les cuisses, ayant parfaitement deviné que c’est dans cette position que Julien désire la prendre. J’aperçois le phallus, raide, palpitant légèrement au rythme des battements cardiaques. Il disparaît de ma vue et je le devine juste devant l’entrée de l’intimité ruisselante d’Anne. Julien la pénètre brusquement, la bouscule et ...