1. Visite du chateau de Roncenard


    Datte: 15/07/2018, Catégories: ffh, fsoumise, contrainte, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation fgode, donjon, coupfoudr, initfh, sm,

    ... quiétude où résonne la douce mélodie de l’excitation sexuelle. — Alors ? m’interroge Julien. N’avais-je pas raison ?— Si ! C’est une sensation tout à fait exquise. Avoue que tu meurs d’envie de voir ça !— Hum ! Hum ! Je remonte alors les pans de ma jupe et dévoile mon buisson que le ventilateur rend frétillant. — Attention ! Tu n’as pas le droit de toucher ! Tu dois te concentrer sur la conduite quoi que je fasse !— Promis ! Je ne te toucherai pas ! Difficile promesse que celle-là, car je suis bien décidée à le mettre à l’épreuve. Le ventilateur a réveillé en moi les désirs les plus fous. De plus, sentir Julien condamné à n’être que le témoin passif de tout ce que je pourrai faire m’excite terriblement. Je suis prête à accomplir des folies. Il faut simplement que je n’aille pas trop loin pour ne pas lui faire perdre ses moyens et risquer de provoquer un accident. Je choisis donc de lui faire subir la douce torture d’avoir une femme qui se donne du plaisir toute seule, là, juste à côté de lui. Je commence donc par une caresse furtive sur l’intérieur de mes cuisses puis j’ouvre quelques boutons de mon chemisier et en quelques contorsions, je parviens à ôter mon soutien-gorge. Mes seins, ainsi libérés, animent le tissu satiné du chemisier. Je m’amuse alors à pincer le bout de mes tétons pour les faire pointer, comme s’ils voulaient crever le tissu pour s’échapper. Julien me lance des regards furtifs que j’intercepte à chaque fois. Je laisse une main pétrir ma poitrine qui ...
    ... durcit de désir et je laisse la seconde descendre vers une étuve que les pales du ventilateur ont de plus en plus de mal à ramener à une température convenable. Je survole ma toison, tente quelques contacts légers au sommet de mes poils puis, plus dévergondée, j’écarte mes grandes lèvres pour faciliter le passage de l’air jusqu’au plus profond de mon sillon en surchauffe. La caresse qu’il me donne m’enfièvre. Mon index effleure la zone de mon clitoris qui a de plus en plus de mal à se dissimuler derrière son petit capuchon protecteur. Un fantasme fait soudainement irruption dans mon esprit qui en ce domaine est capable de réaliser de véritables prouesses. Je délire merveilleusement en vivant intérieurement une de ces mises en scène érotiques dont le principal attrait est de permettre à l’imaginaire de me plonger sans tabou ni conséquence au cœur de situations qui ne sont excitantes que parce qu’elles ne sont pas réelles. C’est ainsi que mon cerveau en ébullition m’embarque dans une aventure qui accompagne à merveille ma masturbation : « Nous roulons tranquillement jusqu’à ce qu’un semi-remorque nous oblige à réduire considérablement notre vitesse. Impossible de dépasser dans ses petites routes sinueuses, alors Julien s’énerve un peu. Après quelques kilomètres passés ainsi à respirer les gaz noirs et nauséabonds de l’échappement du camion, Julien commence à perdre son sang froid. Enfin une petite ligne droite. Utilisant toute la puissance du moteur de la Bagherra nous entreprenons ...
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