Visite du chateau de Roncenard
Datte: 15/07/2018,
Catégories:
ffh,
fsoumise,
contrainte,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
fgode,
donjon,
coupfoudr,
initfh,
sm,
... se sert de tout le poids de son corps pour m’écraser et m’interdire toute résistance. Il me sert fortement, me fait mal, mais je ne crie pas. Je m’adresse seulement à Julien pour lui demander de ne pas intervenir et de laisser faire. Les caresses sont rudes, dénuées de toute sensualité. L’homme se sert. Il remonte jusqu’à ma culotte, pelote mes fesses comme un client qui s’assure de la qualité de la marchandise qu’il vient d’acquérir. Je tente de me débattre. Peine perdue. Je ne fais qu’attiser le plaisir que je n’ai que trop provoqué. L’autre type s’approche. Je m’abandonne aux caresses des deux routiers. Ils pétrissent l’ensemble de mon corps jusqu’à ce que Julien intervienne pour mettre fin à cette débauche. — Ça suffit ! Vous en avez eu assez. Fichez le camp !!! Les deux routiers surpris s’arrêtent immédiatement de me tripoter. Finalement, à l’initiative du plus petit, ils battent en retraite, montent dans leur camion et reprennent la route. Cet épisode ne m’a pas laissée indifférente. Au fond de moi, une formidable envie de faire l’amour me dévore. Julien le sait, il s’approche et me redépose sur le capot de la voiture, m’écarte les jambes et me pénètre vigoureusement. Immédiatement je jouis… » Une jouissance bien réelle me fait sortir de mon fantasme. Ma main droite s’est chargée de me faire vivre le plaisir de mon fantasme et, avec stupéfaction, je m’aperçois que ma main gauche n’est pas restée inactive. Comme mue par une force totalement indépendante de ma raison, ...
... elle s’est glissée sous mes fesses. Un doigt mutin s’extrait de mon anus… Comment ai-je pu ??? Julien a observé ma masturbation sans intervenir. Obligé de conserver la tête froide pour conduire, il a été le témoin impuissant de ma folle envolée, un peu comme dans mon fantasme. Le pauvre ! Que pense-t-il de moi ? Et dans quel état l’ai-je mis ? Je ne veux pas reprendre tous mes esprits trop rapidement et je me complais à rester entre rêve et réalité. Soudain, nous nous retrouvons juste derrière un gros camion que Julien ne parvient pas à dépasser. Mon cœur bat brusquement la chamade dans ma poitrine. Le camion tourne à droite. Je me calme et m’endors. xxx C’est sans doute l’absence de ronronnement du moteur qui me sort de mon sommeil. J’émerge très lentement, entrouvrant légèrement les paupières derrière mes lunettes de soleil. Nous sommes arrêtés dans une station-service. Julien est descendu. Je ne bouge pas. Le soleil chauffe mon corps à travers le pare-brise. Soudain une ombre s’interpose. Toujours sans bouger, mes paupières s’écartent légèrement. Je suis surprise de constater que l’ombre n’est pas celle de Julien, mais celle du pompiste qui barbouille le pare-brise avec une éponge mousseuse. À travers mes cils, totalement immobile, j’observe la scène. Le garçon, tout juste sorti de l’adolescence, s’active énergiquement. Maintenant, je le distingue à peine à travers la mousse. La raclette, qu’il essuie dans un chiffon après chaque passage, restitue peu à peu une vue parfaite. ...