1. Visite du chateau de Roncenard


    Datte: 15/07/2018, Catégories: ffh, fsoumise, contrainte, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation fgode, donjon, coupfoudr, initfh, sm,

    ... d’araignée, dans laquelle je viens de me heurter, me donne des frissons de dégoût sur tout le corps alors, cette fois, pour l’ambiance, c’est réussi. Nous arrivons dans une grande pièce où sont stockés tous les objets, meubles, armes et bibelots en mauvais état qui n’ont pas encore été suffisamment restaurés pour être présentés au public. Nous furetons un moment dans ce capharnaüm poussiéreux. Julien me montre maintenant un petit recoin situé tout au fond de la pièce. Derrière un trou béant creusé dans l’épais mur en pierre, nous atteignons un petit soupirail. Julien s’y faufile et, une fois au fond, ouvre une lourde porte en bois qui proteste en grinçant de tous ses gons. Nous devons nous baisser pour passer et nous débouchons sur un escalier qui se perd dans l’obscurité, semblant descendre tout droit vers l’enfer. — Par ici, je vais te montrer l’ancienne salle de torture. L’ambiance est déjà tellement lugubre que tous les poils de mon corps se hérissent au fur et à mesure que je descends les marches abruptes. Nous arrivons enfin dans une vaste salle que l’unique ampoule électrique a bien du mal à faire émerger de la pénombre. De grosses colonnes en pierre retiennent la voûte, si basse, que Julien peut l’atteindre en tendant ses bras au-dessus de sa tête. Au milieu de la pièce, je suis intriguée par une grosse roue en bois. Installée sur un étrange mécanisme constitué d’une manivelle et d’énormes engrenages, elle est truffée de chaînes. Je comprends vite que le mécanisme ...
    ... permet de relever la roue pour la faire passer de l’horizontale à la verticale. Je m’aventure jusqu’au fond de la salle et j’y trouve des billots épais sur lesquels mes yeux passent rapidement sur une multitude d’objets barbares. Des chaînes avec de larges bracelets métalliques sont fixées pratiquement sur tous les murs. Il y a même l’âtre d’une forge à l’intérieur de laquelle plonge encore le bec noirci d’un soufflet géant. L’effroi s’empare de moi. Pas de doute, nous sommes dans une ancienne salle de torture. J’ai l’impression de visiter le musée des horreurs. — Cette pièce a été construite au IXe siècle. Le seigneur des lieux, un tirant sanguinaire, a maté une rébellion de ses paysans puis a guerroyé avec ses voisins durant toute son existence.— Ho ! Mon Dieu ! Alors, ces horribles instruments ont donc servi !!!— Je le crains, malheureusement, toutefois, ils ne sont pas tous de la même époque. Je ne comprends pas tout de suite puis je découvre, médusée, que certains objets ressemblent étrangement à ceux que l’on trouve dans les sex-shops et non dans une salle de tortures. J’observe les différents godemichets dont certains sont de taille tout à fait démesurée. Il y en a en bois, en pierre, en porcelaine et même en cuir tressé. Moins amusants sont les martinets aux lanières effilées, parfois garnis de billes de métal. Le manche de l’un d’eux représente un phallus en érection, particulièrement bien imité. Un frisson d’horreur parcourt mon dos. S’apercevant de ma consternation, ...
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