1. Dés-Fantasmes


    Datte: 16/07/2018, Catégories: fh, fsoumise, hdomine,

    Juste un petit texte ludique sans aucune prétention :) Tu aimes les fantasmes, les accomplir ? Ça tombe bien, moi aussi ! Fantasme de la femme soumise, de l’esclave aux pieds de son Maître, obéissante sans rechigner, sans dire jamais non à son Seigneur et dictateur des désirs. Tes seins léchés, baisés, sucés, torturés… Tes courbes prises, malaxées, pétries sans relâche… Ta bouche capturée, captive, léchant, suçant sans honte, sans répit… Ta vulve envahie, encombrée de doigts, un sexe, deux, limée, remplie… Ton trou du cul exploré, parcouru, visité sans relâche, pistonné, un sexe puis un autre… Ton corps soumis à mes envies, mes appétences, mes folies… Je veux t’envahir de partout, te soumettre, te posséder toujours et encore, car tu es à moi, corps et âme. Tu ne connais que 4 mots dans ton vocabulaire : Oui, Maître, merci, Maître et encore, Maître ! Toi, dont le nom et le prénom sont à présent des insultes, des gros mots, des affronts, des impolitesses, ces mots qui te font vibrer et t’offrir, t’ouvrir plus encore, à moi, ton Maître. --ooOoo-- Deux dés, voici tes autres maîtres ; deux dés jetés, une feuille, une ligne et une colonne puis quelque chose à accomplir avec le sourire, la joie de pouvoir témoigner encore et toujours ton attachement, ta soumission. Deux dés qui dirigent ta vie… Deux dés, trente-six combinaisons, autant de petites cases sur le papier dont la moitié est de ta plume, de tes souhaits, de tes envies, de tes fantasmes. Laisser le hasard décider, se dire ...
    ... que c’est ainsi, que jamais tu n’aurais fait ça en temps normal. Mais voila, le temps normal est suspendu, comme révolu, lointain. Nous dans notre monde clos, nous-deux, face à face, les yeux dans les yeux, nos corps, nos âmes. Alors tu te saisis des deux dés, tu les regardes longuement, tu te demandes ce que ces deux petites choses insignifiantes vont bien pouvoir décider ! Tu lances le premier dé pour mieux faire durer le suspense, il roule longuement avant de s’immobiliser définitivement. Tu regardes minutieusement le papier avant de décider si tu choisis la ligne ou la colonne, afin d’optimiser ce que tu souhaites au fond de toi sans oser le dire… Puis ta main s’empare de l’autre dé, tu le serres fortement entre tes doigts puis il roule à son tour ; comme le premier, il roule interminablement, ses diverses faces accrochent la lumière. Comme au ralenti, il virevolte sur lui-même avant de se figer, décision irréversible, irrévocable. Une ligne, une colonne, une case, un défi. Alors, agenouillée face à moi, tu lis à haute voix ce que tu devras exécuter, docile, obéissante petite soumise à ton Maître. Parfois, tes lèvres tremblent un peu, ton corps agité de fins frissons, mais toujours, tu accomplis la destinée fixée par ces deux dés. Toujours. À quatre pattes, entre tes jambes, je lape délicatement tes couilles. Je salive sur ta queue bien raide, je la lèche, je l’aspire. Aujourd’hui, je suis ta chienne, parée de mon collier et d’une chaîne, toute docile. Assidue, je tourne ...
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