1. Dialogues Interdits – Épisode 11 – Accidents salvateurs


    Datte: 16/07/2018, Catégories: A dormir debout,

    ... que c’est si simple à faire, pourquoi ne prendrai-je pas un jour la place de ces jolies filles ? D’autant que je suis plus jolie que la plupart d’entre elles. J’aurais sans doute du succès, et on dit que ça peut rapporter un max. – Voilà bien les temps modernes ! Hier on rêvait de devenir maîtresse, aujourd’hui… Enfin. – J’ai eu le second déclic l’année d’après, lorsque j’ai commencé à coucher. Lors d’une de mes premières fois, j’ai eu affaire à un mec franchement membré. Sans rire, une bonne vingtaine de centimètres. La taille me foutais les jetons, pourtant il n’avait pas du tout l’intention d’y aller bourrin. Pour me rassurer, il s’est allongé et m’a proposé de monter sur lui, en me disant qu’il ne bougerait pas : comme ça, je déciderai moi-même du nombre de centimètres à m’enfourner. – Et tu l’as fait ? – Oui, et je me suis montrée assez douée dès le début. Pas tant que ça non plus, puisque c’est là que le deuxième accident est survenu. – C’est drôle… deux déclics pour deux accidents. – J’avais les deux bras tendus, paumes posées sur son torse. Grâce à eux et à mon bassin, je maîtrisais : j’y allais tout doucement, touche par touche… et sans intention d’aller jusqu’au bout. – Sans intention de le faire jouir ? – Non, sans intention de tout mettre. Je t’assure qu’il en avait vraiment une impressionnante, en tout cas pour la frêle jeune fille que j’étais. Et que je suis toujours, en un sens. Tout se déroulait au top, j’allais et venais en ajoutant de la profondeur, allant ...
    ... jusqu’à une bonne dizaine de centimètres, voire un peu plus. Il était content, j’étais contente. Puis, mes cheveux m’ont gênée. J’avais les cheveux longs à l’époque, les mèches se sont mises dans mes yeux, je ne voyais presque plus rien. Et j’adore voir. Tout voir. Là en l’occurrence, voir ses yeux grands ouverts et ses pupilles délicieusement dilatées. Au moment où j’étais en haut, m’apprêtant à redescendre, j’ai porté la main à ma chevelure, agacée de ne rien distinguer… nerveusement, sans réfléchir. C’était sans compter la faiblesse de mes petits bras tout maigrichons. Il n’y en avait plus qu’un seul pour supporter mon poids ! – Il s’est relâché ? – D’un seul coup. Le bras s’est détendu, mon bassin n’a pas eu le temps de réagir, ni mes cuisses : il n’y a pas à dire, la loi de Newton ne pardonne pas. C’est vif comme l’éclair ! La seconde d’après, j’étais si enfoncée que j’ai pu sentir ses testicules contre ma raie, et ses poils pubiens contre les miens. J’ai poussé un grand cri, qui est sorti tout seul. Tout l’immeuble a dû être au courant de la mésaventure. Enfin, pas des détails, de son résultat. Le mec m’a regardée, comme terrorisé. Il pensait que j’avais eu mal. L’espace d’un instant, je me suis posé la question. – Ce n’était pas le cas ? – Non. Ça m’avait donné une sensation forte, évidemment, sans me blesser pour autant. Sans même me faire ressentir la moindre souffrance. Les mois qui ont suivi, j’ai un peu tout expérimenté. Et j’ai constaté que quelque soit le ou les ...