L'impératrice et le moine
Datte: 16/07/2018,
Catégories:
f,
ff,
fffh,
fbi,
asie,
Collègues / Travail
religion,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
... Gensho le trouvait assez bel homme, et elle n’aurait su dire pourquoi, mais il lui semblait que son crâne chauve attisait encore son excitation. Kilito se déshabilla également et s’agenouilla devant lui. Les mains sur les genoux, elle saisit délicatement de ses lèvres le pénis encore souple. Le moine ferma les yeux, et la sensation de chaleur humide eût tôt fait de rigidifier son membre. On ne pouvait pas dire que Long Fa Lu avait été tellement gâté par la nature : sa verge ne mesurait pas plus de cinq pouces. Avantage : ceci permettait à Kilito de le garder en bouche jusqu’à la naissance des bourses. Lorsque la jeune femme le libéra, le membre du moine était déjà raide. Le bhikkhu s’allongea par terre. Kilito s’empala sur lui en lui tournant le dos. Elle lui saisit les chevilles, les tirant vers elle, tout en poussant sur le sol avec ses propres pieds. Le bonze, quant à lui, l’agrippait par les épaules. Gensho ne perdait rien du spectacle. Toujours assise sur son fauteuil impérial, elle avait ouvert son kimono et ses doigts s’amusaient négligemment avec son clitoris. Le couple qu’elle avait devant les yeux ressemblait à un arc bandé. Les mouvements lui donnaient l’impression qu’à tout moment, Kilito pouvait être projetée comme une flèche et s’enfoncer dans le sol… Celle-ci sentait le plaisir monter en elle inexorablement. La vue de sa maîtresse se touchant en la regardant décuplait ce plaisir. Il en allait bien évidemment de même pour Long Fa Lu. L’impératrice avait ...
... remonté une de ses jambes et posé un pied sur le coussin du fauteuil. Elle offrait ainsi le spectacle de son intimité à tous les regards, et se massait désormais plus franchement. Les deux gardes près de la porte, bien qu’ils fussent habitués à ce genre de scène, étaient on ne peut plus mal à l’aise sous leurs cottes de mailles… Gensho sonna alors une autre servante, une jeune paysanne aux formes aussi prudes que l’esprit. Kunni n’était à son service que depuis une petite semaine. Très prude, elle resta interdite devant cette vision inattendue. Le sang lui monta au visage et elle bafouilla : « Que… Que… — Avance, n’aie pas peur. » Le visage souriant de l’impératrice se voulait rassurant, et les mouvements de sa main n’avaient pas cessé. Kunni commençait à se sentir quelque peu émoustillée. « Met-toi à quatre pattes », lui ordonna sa maîtresse. Puis elle fit un signe aux deux autres. Kilito s’allongea sur le dos de la jeune servante, et Long Fa Lu se mit en devoir de la pénétrer. Les mouvements de balancier que lui transmettaient les va-et-vient incessants du moine, les gémissements de plus en plus lascifs qui lui parvenaient de Kilito, à quelques pouces de ses oreilles, et la vision de sa maîtresse qui commençait à jouir, étaient autant de facteurs qui lui donnaient furieusement envie de calmer l’échauffement presque douloureux de son bas-ventre. Malheureusement, pour soutenir le poids de sa collègue, elle était obligée de prendre appui sur ses deux bras… Les cris de Kilito ...