1. Le sperme du diable (1)


    Datte: 16/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    La chambre n’était en tout et pour tout éclairée que par des bougies, posées çà et là au hasard des meubles. Il y avait en particulier à la tête du lit un simple bougeoir dans lequel était enfichée une bougie blanche…fine, longue et lisse comme une verge d’adolescent. P… était déjà la nue allongée sur le ventre, son sexe légèrement bombé caché sous sa main, elle se masturbait devant moi, cuisses ouvertes en toute impudeur. A cent lieux de toute sophistication c’était une grande fille naturelle, aux formes suffisamment généreuses pour attirer les convoitises. Elle avait ce genre de peau blanche et laiteuse sur laquelle la moindre caresse appuyée laissait une marque, ce qui ne manquait jamais d’arriver quand je pétrissais sans douceur ses gros seins ou son cul rebondi. Par contraste sa toison épaisse paraissait encore plus sombre, de même que les touffes odorantes de ses aisselles qu’elle n’épilait plus à ma demande. J’étais pour ma part encore habillé assis sur le rebord du lit, l’exhortant par les mots les plus crus à se donner seule son plaisir de femelle, puisque je ne la toucherais pas ce soir. Fallait-il que cette garce se sente en confiance pour oser poser son autre main sur mon membre par-dessus le tissu et commencer à me branler en traitant de salaud vicieux. Elle eut juste le temps de finir sa phrase que déjà je me relevais en lui giflant la joue et les seins pour son impertinence, prenant plaisir à les voir ballotter et rougir tandis qu’elle essayait de m’échapper. ...
    ... Je lui attrapai le bras et le tordant dans son dos, je l’immobilisai sur le lit, genoux repliés sous elle et tête cachée dans l’oreiller, un brin suffocante de ce bref combat. Je me saisis alors du bougeoir, approchant la flamme de son torse, elle frémit, imaginant sans doute qu’avec cette langue jaune j’allais lui lécher le flanc, lui chauffer ses tétons déjà tendus, mais j’écartai ce feu. Simplement, j’inclinais le bougeoir sur son dos…oui juste au creux de ses reins pour faire couler quelques gouttes de cire blanche et chaude, brûlantes comme le sperme d’un diable. Elle cria, de surprise et de douleur mélangées, son corps se convulsant sous moi dans une ridicule tentative d’évasion. J’attendis un instant que la cire refroidisse et que ses cris s’apaisent…puis je recommençai l’opération plus bas, à la naissance de la raie profonde et sombre qui marquait son cul, puis plus bas encore là où je situais précisément la rosace sombre de son anus. Chaque goutte de cire lui arrachait maintenant des gémissements de plus en plus rauques, où la douleur cédait peu à peu la place au plaisir trouble d’être ainsi chaudement caressée. Vous ai-je dit que P était mariée, et qu’elle saisissait jusque là ce prétexte pour me refuser toute pénétration de cet orifice étroit qu’elle disait réservé à son mari ? Un peu comme si elle essayait par cet ultime préservation de racheter les fautes qu’elle pensait commettre à chaque fois que je la forniquais jusqu’à os en lui faisant crier qu’elle était à ...
«12»