1709 - Les Cinq-Bois
Datte: 16/07/2018,
Catégories:
fh,
ff,
2couples,
couplus,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
historique,
entrecoup,
... vous vous vantez ?— Demandez donc à ma femme ! Entre deux soupirs d’aise, celle-ci arrive à répondre : — Et même plus… c’est infernal… Jean-Armand s’approche de sa femme, je m’écarte un peu, je positionne ma main autrement pour continuer à masturber Henriette-Louise. Puis posément, il darde son gland plein de salive vers l’entrée sombre et pousse pour venir s’engloutir sans trop de difficulté, tandis que sa femme gémit faiblement. Angeline ne peut s’empêcher de s’exclamer : — Eh bien ! Quel morceau !— Et ce n’est pas fini, il me reste encore toute la tige ! Et sans vergogne, il commence des va-et-vient pour s’enfoncer pouce par pouce entre les fesses tendues de sa femme. Je dois reconnaître que ça me fait tout drôle de voir un tel engin s’enfouir dans un si frêle petit cul ! Henriette halète, je ne saurais dire si c’est l’effet de mes doigts ou celui du mandrin qu’elle a à moitié en elle. Ou les deux. Jean-Armand marque un petit temps d’arrêt, puis écartant bien les fesses de sa femme, il s’enfonce lentement et impitoyablement jusqu’à la garde, tandis qu’elle hulule. Puis il relève la tête, majestueux : — Ne vous avais-je point dit que ma femme m’accueillait en elle tout entier ?— En effet, c’est… extraordinaire ! Mais où peut-elle mettre tout ça ?— Et vous n’avez encore rien vu ! Soudain, il commence à pistonner furieusement sa femme ; elle se débat, mais elle le ne chasse pas. Il accentue ses terribles va-et-vient, sortant presque pour venir ensuite disparaître ...
... totalement. Henriette-Louise s’agrippe à la table, poussant des tas de petits cris désarticulés, subissant cet assaut impitoyable, les fesses bien tendues vers son tortionnaire. Puis elle se dresse à moitié, se fige… Elle explose, jouissant comme une petite folle, toujours pistonnée sans relâche par son mari qui, visiblement, éjacule en elle dans un grand râle bestial. Angeline et moi sommes assez impressionnés par cette sodomie très ardente ! Rivé dans sa femme, Jean-Armand reste immobile, sans doute pour bien ressentir sa présence en elle. C’est quelque chose que j’aime bien faire, moi aussi. Je retire ma main toute détrempée des lèvres moites d’Henriette-Louise. À ma grande surprise, ma femme s’en saisit pour lécher un de mes doigts. Comme visiblement elle aime, elle lèche mes autres doigts. Après un faible grognement, Jean-Armand se retire lentement des entrailles de sa femme qui reste prostrée sur la table, secouée par diverses vagues. Abandonnant ma main, fascinée, Angeline s’approche, mettant presque son nez sur la tige qui s’extirpe peu à peu du corps de sa nouvelle amie. À peine le gland est-il sorti qu’elle le capture dans sa bouche, le savourant comme un bonbon, saisissant la tige molle et poisseuse de ses deux mains, indifférente à la souillure de ses doigts. Jean-Armand se tourne alors vers moi et dit d’une voix hachée : — Ce n’est pas une catin que vous avez épousée, mais une remarquable putain ! Veillez bien sur elle ! Sinon, je vous l’enlève !— Je n’y manquerais pas ! ...