1709 - Les Cinq-Bois
Datte: 16/07/2018,
Catégories:
fh,
ff,
2couples,
couplus,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
historique,
entrecoup,
... est déjà en vous, le fieffé coquin !— Ça… ça fait quelque chose !— Pourtant votre cher mari vous a déjà prise de la sorte plus d’une fois, je me trompe ?— Oui, mon mari aime m’enculer, si vous voulez tout savoir ; surtout les jours où il est dangereux de passer par le vase naturel.— Sage précaution ! Henriette revient avec l’ingrédient. Elle se penche sur son amie : — Qu’en pensez-vous ?— Que c’est conséquent !— C’est vrai, surtout au début, on croit qu’on va éclater ! Puis on s’habitue sans souci… Angeline la regarde droit dans les yeux : — Et vous, vous aimez ?— Oui, je le reconnais, j’aime beaucoup, c’est… c’est une façon de s’offrir complètement à son mari…— Vous avez parfaitement raison, chère Henriette, mais votre mari l’a quand même trop grosse.— Ne vous en faites pas, j’ai apporté de quoi aider la nature… Tandis que Jean-Armand se prépare, se badigeonnant de beurre, avisant un siège bas, je m’en empare pour m’asseoir dessus. Puis j’attrape Henriette pour l’attirer à moi : — Venez donc, chère hôtesse, vous asseoir afin de bien profiter du spectacle !— Profiter du spectacle ou profiter de votre vit bien dressé ?— L’un n’empêche pas l’autre… C’est en riant doucement qu’elle s’exécute de bonne grâce, s’empalant sur mon sexe pointé vers les cieux. Je soupire d’aise quand je me sens entrer dans ses profondeurs humides et chaudes. J’enserre sa taille de mon bras puis je pose mon menton sur son épaule, tandis que je caresse un sein qui tient merveilleusement dans ma main. ...
... Elle se laisse faire. J’en profite alors pour glisser vers son ventre, puis son pubis afin de lui procurer du plaisir. Elle arrête mon geste et murmure à mon oreille : — Vous voici bien câlin ! Si je puis vous commander, caressez mon sein d’abord et quand il sera l’heure, mon intimité vous sera totalement offerte…— Comme il vous plaira…— Merci, vous êtes charmant, et je m’en voudrais de jouir trop vite sans avoir vu le vit de mon mari disparaître complètement dans Angeline.— Je vous comprends… Jean-Armand a commencé son travail d’introduction sous nos yeux attentifs. Son pieu coulisse petit à petit dans la sombre entrée. Angeline respire de façon saccadée, presque comme si elle accouchait. Le parallèle me frappe, ayant déjà assisté à diverses naissances. Jean-Armand se retire un peu, au soulagement de ma femme, mais c’est pour mieux revenir, sous un angle différent. Visiblement, ça passe mieux, la moitié du sexe de mon ami est à présent dans le corps de ma mie qui a commencé à se masturber pour supporter cette violation contre nature. — Cela va-t-il, belle catin ?— Vous êtes envahissant ! Si je m’écoutais, je me précipiterais vers les commodités ! Jean-Armand rit : — Quelle idée ! C’est juste une impression ! Je vais à présent passer à la suite… Il se retire un peu à nouveau, puis replonge lentement en elle. Toujours sur mes genoux, Henriette se trémousse, excitée. J’en profite pour pincer délicatement son téton. Elle apprécie, se plaquant un peu plus sur moi, tout en commençant ...