Carole
Datte: 16/07/2018,
Catégories:
Hardcore,
... sans me retirer. Elle m’agrippe fermement. Ses cuisse m’enlacent et me serrent. Ses mains empoignent mes fesses. Elle m’embrasse à pleine bouche. A son tour de me mordre. Je ne peux plus bouger. Je lui appartiens.Quelques secondes passent. Je force pour me libérer. Je me mets à genou, lui att**** les jambes et les écartent au maximum. On va passer aux choses sérieuses maintenant ! D’un coup, j’accélère le rythme et amplifie les mouvements de ma bite en elle. J’alterne maintenant entre des petits mouvements très rapide, le plus vite que je peux, et de lents mouvements puissants, violents, et très en profondeur. Je la sens partir, elle jouit, elle hurle, elle gémit, elle atteint l’orgasme. Je le sais, je le sens. Mais je n’en ai pas fini pour autant. Je reste en position encore quelques secondes, je la laisse profiter du moment, puis, je me retire sans préavis et la force à se retourner. Elle s’exécute, dans un état second. Peu importe.Sans attendre son consentement, j’enfile mon sexe tendu et dégoulinant dans sa chatte trempée. Elle s’effondre sur le ventre dès mon premier coup de boutoir. J’adore. Je la pénètre autant que je peux, je me couche littéralement sur elle, l’embrasse et la mordille dans le cou et l’oreille. Je sens le rythme effréné de son pouls. Elle sens le rythme soutenu de mes allers et retours en elle. Plus vite. Plus fort. Je veux prolonger le moment encore un peu. Mais trop tard, je viens. Elle est à bout de souffle. Moi aussi. Un dernier coup et je me ...
... retire, juste à temps pour éjaculer sur son dos et ses fesses gluantes de sueur. Plusieurs grandes giclées de mon sperme chaud se déversent dans le creux de ses reins. Elle n’a plus la force pour quoi que ce soit.Je m’affale sur elle, sur son dos. Mon sperme colle à notre peau, se mélange à notre transpiration. C'est désagréable. Mais j’oublie très vite. Déjà, l’endorphine fait son effet, je sens que je sombre. Nous nous endormons l’un sur l’autre.Le lendemain matin je me réveille en sursaut. J’entends la rue fourmillait en bas. Il n’est que 6 heures du matin. Suffisamment tôt pour préparer pour le mieux la compétition. Nous sommes blottis l’un contre l’autre en position fœtale. J’ai une érection matinale. Je sens mon sexe dur contre son dos. Ce serait dommage de ne pas saisir l’occasion. Elle dort toujours. Du moins je crois. Je n’ai pas envie de préliminaire, je me recule de quelques centimètres et toujours sans préservatif, j’introduis ma bite dans son sexe. J’y arrive sans aucune difficulté, il est à ma grande surprise humide. Nous avons fait l’amour dans cette unique position, tendrement, sensuellement, mais moins intensément que la veille. Curieusement, cela n’a pas duré très longtemps, j’avais déjà la tête à ma compétition, je garde un souvenir moyen de ce matin là. C’était bien, ça, je m’en souviens. Les détails, eux, sont flous.J’ai évidemment été mauvais lors de ma compétition, mais peu importe. J’étais vidé dans tous les sens du terme. Même sa tentative de fellation sur ...