1. Un mal pour un bien


    Datte: 17/07/2018, Catégories: fh, fhh, 2couples, cocus, Collègues / Travail Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe hsodo, attache, confession,

    ... puis l’autre, cherchant le téton qui pointe ? Mais mon plaisir n’est pas solitaire. Là-bas, à quelques pas, le trio n’est plus qu’un concentré de jouissance. Marc grince des dents alors qu’il inonde le cul de l’homme de son jus épais. Maryse est plus silencieuse, mais comme on dit, on ne parle pas la bouche pleine, et si je ne vois pas le détail je sais que son mari lui balance le foutre tant désiré. Savez-vous ce qui déclenche ma jouissance ? Une jouissance que je croyais perdue, ou au moins pas si facile à retrouver. Non ? Vous donnez votre langue au chat ? La langue ? Justement ! Eh bien c’est ce baiser que Marc, mon mari, échange avec sa maîtresse. Ce baiser ou Maryse partage le sperme de son mari avec son amant. Ce baiser pervers, avec une impétuosité qui laisse couler quelques traces du liquide qu’ils se partagent. Des traces que chacun des amants va récupérer sur les lèvres de l’autre avec, justement, cette langue goûteuse. J’ai joui, mais aussi j’ai pris peur. Peur, car Marc fait bien plus que baiser pour se vider les couilles. Il est en train de s’éloigner de moi par ces pratiques. Des pratiques qui ne me choquent pas, mais qui m’inquiètent, car hors de ma présence. Et pourtant c’est bien leur spectacle qui m’a excitée et même fais jouir. Que dois-je faire ? Je pars discrètement laissant les amants reprendre leur souffle. Mais la nuit, alors que Marc dort à mes côtés, ce que j’ai vu vient polluer mes rêves. Mais sont-ce bien des rêves ? Le matin, j’ai chaud, je ...
    ... suis excitée. Marc est tout étonné que je le sollicite en le suçant. Il ne dit rien, mais lorsque je le chevauche, engloutissant sa verge tendue dans une grotte qu’il découvre humide et accueillante, il ne peut que me sourire. — C’était super, vraiment bien. Je me trompe ou tu commences à retrouver tes envies ? me demande mon mari alors qu’il a juté en moi et que de mon côté j’ai montré une jouissance non simulée.— On dirait, je réponds. Un long silence s’installe. Mais un peu plus tard, alors que nous nous levons pour nous préparer, je reçois un des plus beaux cadeaux que Marc pouvait me faire. Un cadeau qui me montre que j’avais tort de m’inquiéter. — Alors je vais cesser de voir Maryse. Mon cœur bat à se rompre. Quelle plus belle preuve d’amour que cette proposition. — Non, continue encore si tu veux. Ce matin ne pourrait être qu’un feu de paille… Ce serait injuste de te priver de tes amis… Attendons encore un peu… Je voudrais vérifier… Marc me regarde avec attention. A-t-il remarqué que j’ai parlé de ses amis et non pas seulement de Maryse ? Je ne sais pas, en tout cas il répond. — Comme tu veux… Vérifier ! Mais vérifier quoi ! Le lundi suivant, je guette leur arrivée. Maryse et Hugo passent devant moi, cachée dans ma voiture. Ils entrent chez moi. J’attends quelques minutes. Je veux les voir dès le début et vérifier mon hypothèse. J’entre sans bruit. L’appartement est silencieux. Je me déchausse pour éviter de me faire remarquer. La porte est presque fermée, mais j’arrive ...
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