Premier libertinage pour Chloé et Sébastien
Datte: 17/07/2018,
Catégories:
fhh,
jeunes,
couple,
danser,
douche,
pénétratio,
Partouze / Groupe
jeu,
init,
... de suite en moi, sa bouche sur la mienne et ses mains sur mes seins. Il jouit très vite. Pas moi. Il s’en va. L’autre le remplace. Ses va-et-vient sont lents et vigoureux, il vient très profondément en moi, me quitte presque et rentre à nouveau. Mon Dieu, que c’est bon d’être baisée ainsi ! J’ouvre les yeux. En appui sur ses coudes, Anthony me regarde. — Je veux te voir jouir, me dit-il. Il se déverse en moi pendant que je savoure mon bonheur. Nous reprenons notre souffle. Puis je vais dans la salle de bain ; le jet de la douche chasse le sperme mêlé à ma cyprine. Je suis tentée de pousser la porte de la chambre d’amis mais je ne le fais pas, je laisse Sébastien tranquille : ce soir il n’est pas à moi et moi pas à lui, mais à ces deux garçons qui m’attendent. Je les rejoins. Anthony va dans la salle de bain. — Pardonne-moi d’avoir été trop rapide, me dit Alex.— Tu es tout pardonné.— On va bien remettre ça, n’est-ce pas ? La nuit sera longue.— Mais oui, Alex. Anthony revient ; à son tour, c’est Alex qui va dans la salle de bain. — Tu es belle quand tu jouis, me dit Anthony.— Le reste du temps, je suis moche ?— Ce n’est pas ce que j’ai voulu dire, tu le sais bien. Son sexe est tout rabougri, propre comme un sou neuf. Alex revient. Il suffit que je les suce un peu pour que ces deux garçons bandent de nouveau. Ils me lèchent la chatte, taquinent mon clito. — Si tu t’empalais sur Alex, je te prendrais en même temps par ton petit trou, me propose Anthony, qui ajoute que ce serait ...
... positivement divin.— Divin peut-être, mais sûrement douloureux.— Pas si l’on s’y prend avec douceur… et doigté. Et si tu restes parfaitement décontractée. Laisse-moi faire. Couché sur le dos, le sexe vertical, Alex m’attend. Je m’empale doucement. Cette fois il ne va pas jouir trop vite, je suppose. Quand il est bien fiché en moi, je m’incline ; ma bouche tombe sur la sienne, sa langue y pénètre. Mon troisième orifice est gentiment écarté, un doigt vient en assouplir le muscle, de la salive le lubrifier… Surtout, ne pas se crisper… Je ne suis pas vierge de ce côté-là, Sébastien use aussi de cette porte étroite ; mais deux bites si près l’une de l’autre, voilà qui est tout à fait nouveau ! Après quelques mouvements de ma part, en harmonie avec les va-et-vient d’Anthony, les giclées simultanées en moi de mes deux amants me procurent une jouissance qui me fait crier que je les aime tous les deux. — Et Sébastien ? me demande Anthony aussitôt après. Je ne sais plus si je l’aime encore. Je m’endors, épuisée, la main de l’un sur un sein, celle de l’autre sur ma chatte. Un baiser me réveille. Sébastien me sourit : — Ils t’ont quittée. Tu avais trop chaud, tu leur as donné des coups de pied. Chacun a retrouvé sa chacune. Il est deux heures du matin. Nous nous rhabillons et nous rentrons chez nous. Sébastien me rejoint sous la douche. Il ne bande pas. Ces filles l’auront complètement vidé ! Nous nous couchons. Il ne me touche pas. Quand je m’éveille, je vois qu’il me regarde. — Bonjour, ...