Chienne (2)
Datte: 17/07/2018,
Catégories:
Divers,
Il m’ordonna d’avancer à 4 pattes vers le lit, de monter dessus et de replier les jambes sous moi et de m’asseoir sur mes pieds. Il m’a ensuite tendu un masque et m’a demandé de le mettre devant mes yeux. Celui-ci est comme un masque de nuit, il m’empêche de voir. Ses mains, pour la première fois caressèrent mes seins. Il le fit sans aucun ménagement, je dis caresse, mais il malaxait ma poitrine sans se soucier de mon bien-être, il me faisait mal et cela était volontaire. - Aïe ! arrête, tu me fais mal ! Avais-je dit sans réfléchir. - Non, vilaine chienne… N’oublie pas que je fais ce que je veux. J’enlevais mes mains qui s’étaient mises en protection de ma poitrine sans rien ajouter. - Met-toi à 4 pattes, la tête dans tes bras pour me présenter ta croupe. Je m’exécutais sans rechigner. - Aïe ! Sans prévenir, il venait de commencer sa « punition ». Un coup sec et cinglant vint atterrir sur mes fesses offertes. - Chienne, je ne veux pas t’entendre. 2 nouveaux coups cinglèrent mon cul. J’ai réussi cette fois à ne pas crier et à minimiser le reflex de recul. Les lanières se posèrent sur ma peau et commencèrent une douce caresse. Puis, elles s’écartèrent pour revenir au contact avec un peu plus de vitesse. Il continua ainsi longtemps, enfin, pour moi, cela durait une éternité, les caresses succédaient les frappes. Puis, il arrêta, aussi soudainement qu’il avait commencé. J’attendais en gardant ma position et sans rien dire, finalement il enleva mon masque. - Regarde ! Il me montra ...
... son téléphone et je découvris une photo de mes fesses. Elles avaient de multiples stries rouges. Je le regardais inquiète. Pas par la rougeur de mon cul, je savais qu’il n’avait pas ménagé son ardeur ni retenu son bras, mais de savoir qu’il avait pris une photo, voire plusieurs. Je regrettais mon « RIEN », je n’avais pas pensé qu’il aurait pu vouloir faire des photos, pourtant, maintenant que j’en avais une devant les yeux, je comprenais ma bêtise, il était évident qu’il voudrait immortaliser ses moments, autant pour les revivre que pour s’en vanter auprès de ses amis. J’aurais pu lui demander de l’effacer, ainsi que les autres, s’il y en avait. J’aurais pu lui dire que je ne voulais pas de photos, mais je suis une femme de parole, nous avions convenu qu’il n’y avait aucune limite quand nous étions ici et je ne voulais pas trahir ce serment. - Ne t’inquiète pas, cette photo ne circulera pas… Avait-il lu dans mes pensées, avait-il compris mon regard, je n’en sais rien, mais j’étais soulagée. Il prit ensuite un bol pour le remplir d’eau, la posa sur le sol. - Va boire ! Après une petite hésitation, je me suis dirigée vers le bol en marchant à 4 pattes puis j’ai lapé l’eau. - Bois tout ! M’ordonna-t-il alors qu’après quelques coups de langue j’avais arrêté de boire. Ensuite, quand le bol fut complétement vide, il le rangea et me remit la laisse pour me faire faire une nouvelle promenade dans la chambre. Il me fit marcher au pied, m’ordonna de m’asseoir, de me coucher, comme une ...