Bergen (8)
Datte: 17/07/2018,
Catégories:
Gay
Vint le moment tant redouté. Bjorn semblait satisfait de ces préliminaires, ses va et viens se faisaient plus lents, il me regardait attentivement, ne voulant pas me faire jouir trop tôt. Il retira doucement le gode, le posa au pied du matelas et empoigna sa verge qui même un peu ramolli était toujours très impressionnante. Il dégagea son bras, m’allongea, mais je me redressais sur un coude pour attraper son membre et le branler doucement. Je l’attirais à moi et en suçais le bout. Je pouvais peut être en prendre un quart, ou un tiers en bouche mais pas d’avantage. Le sucer fit durcir mon membre, et Bjorn le remarquant caressa doucement mes couilles, passant son autre main sur les quelques gouttes de sueur de mon front. C’était maintenant. Il s’agenouilla entre mes cuisses et attrapa le petit sac bleu pour y prendre un préservatif. Il l’enfila progressivement, mais sitôt le gland couvert, la membrane se déchira. Il fit un « tsss » flegmatique de celui qui à l’habitude. — excuse moi, je dois aller chercher dans ma chambre.. — Oui oui vas y dis je en riant. C’était chacun son tour. Il partit vite dans les escaliers. Je regardais ses belles fesses s’éloigner, et son dos musclé où j’avais envie de planter mes ongles pendant qu’il me besognerait. Je ne pouvais pas attendre sans rien faire. Je caressais distraitement ma bite, passais la main sur mon ventre, j’hésitais même à me servir un autre verre pour me donner du courage. Mais qu’est ce qu’il fait ? Cette minute me paraissait ...
... une éternité. Je levais la tête pour chercher la carafe quand j’entendis ses pas sur la terasse. Vite je me recouchais, écartais les cuisses et posais deux doigts sur ma fente. C’était de la coquetterie je voulais qu’il me trouve attirant, séduisant, irrésistible. C’est si bon de sentir que l’on plait à quelqu’un par moments…. Il s’agenouilla sur le matelas, jeta une poignée de capotes à coté de lui et en enfila une sans aucun soucis. Il l’enduisit de gel, posa ses paumes à l’arrière de mes genoux et poussa doucement mes jambes en arrière. Puis il présenta son sexe à l’entrée de mon anus qui frémit à son contact. Il introduit son gland, sans me faire mal, sans presque que je le sente. Puis il se pencha en avant, calant mes mollets sur ses belles épaules. Je basculais un peu mon bassin en arrière pour faciliter son entrée. Il me regardait, en souriant, et se mit à pousser pour s’enfoncer en moi. Ce n’était pas une bite, c’était un morceau de bois. Dur comme un tronc, son chibre avançait entre mes fesses, il le poussait jusqu’à environ la moitié, reculais, recommençais. Voyant que je ne plissais pas les yeux ni ne grimaçais, il rajusta sa prise sur mes jambes, poussa sur ses bras et se mit en équilibre sur ses pointes de pieds. Droit comme une planche il se mit à s’avancer plus profond par petits coups lents. J’avais un tout petit peu mal mais je ne disais rien, il fallait qu’il aille plus loin, je la voulais toute entière. uboukkaj Je ne bandais plus du tout, mon sexe gisait sur ...