Le concert
Datte: 17/07/2018,
Catégories:
Célébrité,
BDSM / Fétichisme
Hardcore,
... outrageusementsexuelle, m'offrait son dos à contempler.D'un geste précis, j'écartais les pans de son manteau sur son dos cambré, m'offrant ainsi lamagnifique vue de son cul tendu vers moi, superbement mis en valeur par le nylon qui lecouvrait. Une large ceinture de cuir, à peine serrée autour de sa taille de guêpe, dessinait lacourbe de ses hanches de façon indécente.De ma main libre, j'exhibais mon sexe déjà fier et puissant, et me mis à le promener sur cesfesses offertes.La sensation du tissu frottant sur mon gland me rendit fou d'envie, me faisant banderdurement, à la limite de la douleur. Je continuais pourtant à glisser ma queue sur ce cul que jevoulais maintenant tout à moi et à ma fureur sexuelle.N'y tenant plus, je m'accroupis, et d'un coup de dents, je fis un trou dans le nylon juste entreses fesses.Elle écarta ses cuisses dans un râle de chienne accomplie et le tissu se déchira tout le long de sa raie. J'attrapais ses fesses à pleines mains, les écartant vigoureusement pour voir son petit trou, cible de ma langue pleine de salive.Elle gémit adorablement, et dans un petit cri, elle me dit: "Prends-moi, Rocker! Prends-moitoute!".A ses paroles, j'appliquais ma queue contre son orifice élastique dégoulinant de salive, et d'ungrand coup de rein, forçait l'étroit passage.Elle réprima un hurlement de douleur, tout en me fixant dans le miroir avec des yeux qui medonnaient l'autorisation de la baiser ainsi, violemment, comme une chienne lubrique etaffamée de tourmentes ...
... anales.J'enfonçais ma queue plus profond, et ma belle longueur cogna au fond de son ventre, luiarrachant un râle admiratif. Je me mis à la besogner follement, pendant qu'elle m'encourageaitde paroles obscènes et crues."Baise-moi bien mon sauvage, mon cul est à toi, je suis toute à toi, Nylone est ta chienne, Nylone est ta salope, vas-y Rocker, défonce-moi!"Dilatant son cul avec force et application, à grands coups de boutoir de mon bélier de chair,mes mains emprisonnant sa taille, je sentais que je n'allais pas tarder à jouir. Et je voulais lafinir en beauté.L'agrippant de nouveau par les cheveux, et me dégageant de son orifice largement ouvert, jela fis se mettre à genou face à moi. Elle écarta son manteau d'elle-même, me dévoilant ses melons arrogants, et ouvrit sa bouche avec de grands yeux rieurs. Je déchargeais sans retenuetout mon foutre sur sa petite gueule d'amour et dans sa bouche accueillante. Elle subit ladéferlante avec les yeux grands ouverts, puis elle laissa mon jus chaud et gluant déborder deses lèvres, pour le laisser tomber à grosses gouttes sur la voluptueuse matière élastique quiceignait ses gros seins. Ainsi maculée de foutre, de son visage à ses tétons, elle étaitmagnifique de souillure, comme si tout ce sperme répandu sur elle avait révélé sa beautéfatale. Une belle salope, qui venait de s'offrir à moi avec classe et luxure.Elle se releva avec prestance, ses beaux cheveux flottant sur ses épaules de cuir, attrapa unbout de papier toilette pour essuyer son ...