1. Lettre à Boucle D'or (1)


    Datte: 18/07/2018, Catégories: Hétéro

    Chère Boucle d’or… Des choses comme ça, des rencontres de ce genre, des aventures qui te tombent dessus normalement n’existent pas. Et pourtant si, ton jardinier était là. En chair et en os. Totalement réelle. Debout face à moi, de dos, en train de préparer un café. Et il s’offrait ! Et je le draguais. C’était génial ! Tout simplement génial ! Ce joli conte de fées avait commencé trente minutes plus tôt. Le jardinier était devant sa grille en train de la peindre. Il ne m’avait pas entendu arriver, il s’était aperçu de ma présence que par mes modulations rauques, chaudes, ensorcelantes. — Il me semble qu’on s’est déjà rencontrés, non ? Murmurais-je Il m’avait considérée, ahurie. — Si, si, on se connaît. Vous êtes bien le jardinier ? Je ne me trompe pas ? Qu’est-ce qu’il pouvait répondre d’autre que « oui ». Je lui parlais, il me répondait, mais tout cela se passait dans un autre monde, dans un état second. Sans qu’il ait à me le demander, je me présentais. Et le dialogue se poursuivait. Questions. Réponses. Phrases anodines. Puis je fis glisser le sujet sur toi « Boucle d’or », te présentant comme une bonne copine. Il avait que des éloges dans sa bouche pour toi. Il me confessa que ta maturité t’épanouissait superbement, faisant ressortir chez toi un charme discret mais très « présent ». Pour ne rien gâter, tu étais élégante. Que tu possèdes une taille fine et un fessier, dont tes caleçons la moulent d’une manière évocatrice et chargée de promesses. Il avait à chacune de vos ...
    ... rencontres, le plus grand mal à ce retenir. Qu’une boule de chaleur se formait au bas de son ventre et qu’il sentait son sexe s’ériger à toute vitesse dans son pantalon, qu’il avait un grand mal à retenir sa main de toucher ton fessier. Mais avant tout ça, que de cogitation ! Un résultat de pas mal de soirées. La nuit du lundi au mardi, je me suis couché avec certaines idées perverses… J’aurais peut-être dû me toucher un peu. J’étais pourtant en manque, mais il n‘était pas question. Je gardais mon excitation pour le lendemain. J’ai fini le boulot assez tôt, parfait pour en profiter pour me préparer tranquillement. Je me posais deux questions… Comment je m’habillais, plutôt décontractée ou sexy ? Et surtout… Comment allait se finir ce petit jeu ? J’ai trouvé. Un peu décontractée, un peu sexy. Une petite robe noire moulante, arrivant à mi-cuisse, avec des collants noirs, sans culotte, et petites chaussures à talon. Alors, que le jardinier était toujours en train de s’affairer avec la cafetière. Je sortis la fameuse culotte blanche, de mon sac à main, lequel était posé juste à côté de moi, sur le plateau de la table. Je la mis bien en évidence, sans pour ça l’exposer, je voulais que cela fasse naturel, comme si elle avait glissé toute seule de la pochette. Le jardinier ne pouvait que la voir. Je me suis alors levé de ma place, et j’ai joué la femme intéressait par le décor de la pièce. J’étais impatiente de savoir comment il allait prendre la chose. Et je ne fus pas déçu. Après ...
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