1. Ma cousine et la chaleur du pays


    Datte: 18/07/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, Inceste / Tabou grosseins, vacances, plage, bain, forêt, campagne, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné,

    ... contre mon torse velu. Machinalement je passe les mains dans le creux de ses reins, je la câline tel un frère en la serrant encore plus fort dans mes bras. Notre complicité atteint des sommets et je profite de chaque seconde offerte pour étreindre son corps. — Je t’aime cousin, me confie-t-elle à voix basse.— Moi aussi je t’aime cousine, lui dis-je en la serrant tout contre moi et en l’embrassant sur le front. Bien sûr nos « Je t’aime » ne symbolisent que de l’amour fraternel et non pas l’amour qui peut exister entre un homme et une femme qui s’aiment avec Amour - avec un grand A. Mais n’y a-t-il pas quelquefois un seul pas à franchir pour transformer cet amour fraternel en Amour, forcément incestueux étant donné nos liens familiaux ? Je la prends par la main et nous sortons doucement de l’eau. Nous nous allongeons sur la rive, côte à côte et très près l’un de l’autre, si près que nos bras se touchent. Allongés sur le dos nous fixons le ciel bleu azur nullement voilé par un quelconque nuage. Seuls des bruits naturels, tel que le bruit de l’eau qui ruisselle, les oiseaux qui piaillent et les cigales qui font un vacarme assourdissant, parviennent à nos oreilles. Je me sens bien allongé auprès de ma cousine, relaxé, heureux, et elle aussi sans aucun doute. De longues minutes passent avant que l’un de nous n’ose bouger, en l’occurrence moi, pris par une soudaine envie de satisfaire un besoin naturel. Pour cela je m’écarte assez loin de ma cousine, ce qui l’a fait se redresser ...
    ... elle aussi et me chercher du regard. J’en profite ensuite pour regrouper nos vêtements éparpillés un peu partout au bord de l’eau. Je dépose mon boxer encore mouillé sur le tronc d’un arbre abattu lors des inondations de l’hiver dernier avant de rejoindre ma cousine. Rassurée de me voir revenir auprès d’elle elle s’allonge sur le ventre. Elle passe une main derrière elle et sert sa culotte encore humide pour la faire passer entre ses deux globes fessiers. Ainsi elle a transformé sa culotte en une sorte de string pour pouvoir faire profiter ses fesses du brûlant soleil qui tape sur nous. Je viens me mettre à genoux derrière elle à ses pieds et lui dit : — Tu devrais quitter ta culotte tu serais plus à l’aise.— Ben là ça va, je suis trop bien, me répond-elle les mains sous sa tête.— Mais tu verras c’est trop bon d’être totalement nu dans la nature, en accord avec la nature, tu auras tout un tas de sensations à sentir le vent parcourir ton corps et glisser entre tes cuisses, lui dis-je. Tu veux que j’aille mettre sécher ta culotte avec mon boxer ? Elle ne répond pas mais soulève son bassin sans rien dire. Je le prends comme un signe d’accord de sa part et j’attrape sa culotte des deux mains par les côtés puis la fais glisser le long de ses cuisses. Elle repose ensuite son bassin et relève ses jambes lorsque sa culotte se retrouve à hauteur de ses genoux afin que je puisse la lui retirer plus aisément. Je pars la déposer sur le tronc d’arbre où se trouve mon boxer pour qu’elle ...
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