1. Agréable voisine... (3)


    Datte: 18/07/2018, Catégories: Transexuels

    En face de moi se tenaient deux femmes, l’une ressemblant à s’y méprendre à l’autre. Elle m’avait greffé les mêmes cheveux qu’elle, châtain foncé, et parfaitement lissés ; ils s’intégraient parfaitement autour de mon visage et mes cheveux naturels étant très courts, rien ne transparaissait. La fine couche de fond de teint qu’elle avait mis cachait les racines des poils fraichement rasés, rendant mon visage presque aussi féminin que le sien, qui demeurait plus fin malgré tout. Seuls les sourcils étaient trop fournis. Les grandes boucles d’oreilles et le collier donnaient de la crédibilité à mon visage. Continuant ma découverte, je m’attardais sur la robe à manches courtes bordeaux, cachant ce qu’il fallait de la fausse poitrine pour la crédibiliser également, puis cintrant et féminisant mon corps. Par réflexe, j’entrouvris le décolleté pour observer un superbe soutien-gorge en dentelle associant du noir et du bordeaux, avec à l’intérieur plusieurs soutien-gorge couleur chair, adhésifs et sans attaches ; me tournant de profil, cela donnait une poitrine crédible, ni trop ni trop peu. Le collant était quasiment transparent, mais masquait les défauts et les cicatrices de mes jambes, et contribuait à les allonger. Délicatement je relevais la robe, pour découvrir à travers le collant un shorty en satin, assorti au soutien-gorge : majoritairement bordeaux, avec une ceinture en dentelle noire. A mes pieds, les mêmes ballerines noires qu’elle portait l’autre jour, mais avec une fleur ...
    ... bordeaux dessus. Elle m’avait habillé avec goût, bien harmonisé, et je me séduisais moi-même tellement le rendu était crédible. L’autre femme qui se tenait à côté de moi portait quasiment le même accoutrement, mais de couleur émeraude, ce qui la rendait tout autant désirable. Nous aurions presque cru à des jumelles. Je restais en bug sur l’image renvoyée par le miroir, j’avais du mal à réaliser tout ça. Mais ce que je voyais me plaisait, autant que ce que j’aurais vu en temps normal. Elle me sorti de mes pensées : — Mon chéri ? Tu es toujours mon chéri hein ? Ça te plait ? — Euh, oui, ça ne me déplait pas, c’est juste que je n’ai pas l’habitude. Et toi ? Tu es fière de ta connerie ? lui répondis-je en souriant — Oui, assez fière. Ça fait partie de mes fantasmes, que de faire l’amour avec un homme habillé en femme. Je ne me sens pas lesbienne, je ne suis pas attirée par les femmes, mais les hommes habillés en femme, occasionnellement, comme ça, ça me rend dingue. Je notais les mots qu’elle disait, un par un, pour les analyser et tenter de savoir où elle allait. Elle ne parlait pas de se travestir même si ça en avait tout l’air, mais ça restait occasionnel. Tant mieux, je ne me verrais pas faire cette préparation tous les jours. Pour autant, cela me plaisait, surtout que les vêtements que je portais étaient agréables. Nous avons passés la soirée comme ça, puis vers 22h30, elle commença de papouiller mes jambes, mon ventre, ma fausse poitrine, sans trop aller vers mon entrejambe, ...
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