Ma secrétaire, ma femme et moi
Datte: 18/07/2018,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
... Lorsqu’elles reviennent à la table, avant de se séparer, elles tendent leurs lèvres l’une vers l’autre pour un bisou discret. — Je comprends, me dit Nathalie, que tu aies de l’attirance pour Andrée ; je la partage d’ailleurs. Invite-la à danser, tu en meurs d’envie. Devant tant de compréhension, je me lève et prends ma secrétaire dans mes bras pour danser le slow suivant. Je me colle à elle mais reste muet, ne sachant que dire. Par contre, mon corps s’exprime, lui ! Et ma partenaire, en étant consciente, n’hésite pas par des mouvements de ses hanches à en exacerber la tension. Alors que nous passons à proximité de la table, Andrée tend une main vers Nathalie et je change de cavalière. — C’est moi, demande Nathalie, se collant contre moi, qui te mets dans cet état ? Ou est-ce Andrée ?— Je crains que ce soit deux coquines qui s’amusent de moi !— Cela t’arrange, non ? C’est maintenant Nathalie qui, passant à côté d’elle, tend une main à Andrée : — Joins-toi à nous : François ne peut se passer d’aucune de nous. Nous voilà à trois, enlacés. Nathalie me tend ses lèvres et attire vers nous la bouche d’Andrée pour un baiser à trois. Tout en embrassant Andrée, elle défait le nœud de son chemisier pour découvrir sa poitrine et lui caresser un sein ; je ne peux que me joindre à elle pour caresser l’autre et tâter ce corps que je désire. Comme par transmission de pensée, en même temps qu’Andrée, je déboutonne la robe de mon épouse qui glisse à ses pieds, la laissant en petite culotte. ...
... C’est à elle maintenant de profiter de mes caresses et de celles d’Andrée. Lorsque la musique s’arrête, il y a déjà quelques minutes que nous faisons du sur-place. Les femmes m’ont ôté mon tee-shirt, débouclé mon ceinturon et de leurs mains fouillent mon slip. Tous nos vêtements sont bientôt au sol. Deux jeunes femmes, l’une blonde et l’autre brune, nues et belles, avec des corps sublimes, sont maintenant à genoux devant mon érection et elles savent bien s’y prendre. C’est un bonheur absolu lorsqu’elles me sucent plusieurs longues minutes ensemble ou alternent les coups de langue, les aspirations, les baisers autour de mon gland et de ma hampe. Brusquement, elles gagnent la partie ; et dans un feulement de bonheur, je gicle sur leur visage. L’une après l’autre, elles récupèrent mon foutre en léchant le visage de l’autre pour finir par joindre leurs bouches pour mêler leur langue dans un baiser torride. Nathalie, ayant visiblement pris la direction des opérations, nous emmène dans la maison vers notre chambre. Je lui connaissais une attirance occasionnelle pour les femmes, mais je sens qu’avec Andrée il y a plus : leur connivence est venue naturellement, comme entre deux sœurs. Je dois bien admettre, les voyant enlacées sur le lit, qu’elles forment un beau couple ; ce qui ne fait qu’exacerber mon désir pour ces deux superbes créatures. Les rejoignant, je mêle mes caresses à celles qu’elles se font. Je vais goûter le parfum de leur intimité, entretenant l’une à la main tandis que ...