1. Clothilde (2)


    Datte: 19/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... elle vient me voir : — Bon, alors tu as toujours mal ? — Non la douleur a disparu, pourquoi ? — Pour rien comme ça . — Comme ça  ? — Oui. Je ne prête pas plus attention. Je me rends chez ma grand-mère comme d’habitude. Lorsque je reviens elle est près de la piscine et encore seins nus, mais cette fois je ne bande pas. Je m’approche d’elle, elle remarque : — Tu vois que tu peux te contrôler quand tu veux. Juste au moment où elle dit ça, je commence à bander, car son maillot ne cache que la moitié de son sexe. Je suis sûr qu’elle l’a fait exprès. Je tourne le dos et rentre dans la maison, mais je reste dans le salon et la regarde : elle se rajuste le maillot avec un petit sourire. Je pense : Ok tu veux jouer comme ça, tu ne perds rien pour attendre. Je sors pour aller voir mes amis. Je reviens en début de soirée. Quand j’entre, je l’entends qui pleure. Je m’approche d’elle sans faire de bruit : — Pourquoi tu pleures? -Pour rien. — Ce n’est pas logique de pleurer pour rien, franchement. — C’est personnel. — De toute façon c’est toujours personnel avec vous les adultes. Puis je monte dans ma chambre. Elle arrive juste derrière moi; je me retourne pour la regarder et là il se passe ce que je ...
    ... n’ai jamais imaginé, elle m’embrasse. Alors je fais la même chose. Ensuite elle me déshabille, je fais de même : cette fois je vois ses seins, je les prends dans mes mains et commence à jouer avec comme un enfant qui cherche à téter. — Non pas comme ça, tu t’y prends mal, laisse-moi te guider. Bien caresse-les doucement, voilà, continue bien; tu peux aussi les sucer. Ce que je fais, j’en profite pour tété -Oui, tète moi, voilà continue. Puis je descends sur son ventre que je couvre de baisers. Elle me retire le caleçon, elle prend mon sexe en mains et commence à me masturber doucement. — Bien, continue à me caresser, tire mes tétons encore plus fort. Tu peux descendre plus bas, me dit-elle en poussant ma tête vers sa chatte. Je passe la paume de ma main sur sa chatte. Elle me demande de lui retirerez sa culotte : — Maintenant, lèche-moi. Comme j’hésite, elle reprend : -Lèche-moi la chatte, lèche, je te dis — Mais! — Fais-le ! Alors je lui lèche la chatte. Au début, j’ai un drôle de goût dans la bouche, que je ne peux identifier ; mais je n’arrête, pas bien au contraire. Elle commence à onduler. — Hum ! C’est bien, descends encore un peu oui voilà c’est bien ho ! Que c’est bon ! A SUIVRE 
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