Avant l'Orage
Datte: 19/07/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... j'ai promis. Ma main est restée la sur sa cuisse tout le long du trajet de retour, ce n'est qu'à l'approche de la ville qu'elle a doucement enlevé ma main. Ce soir la je me suis tourné et retourné dans mon lit. Il n'y a pas eu de « carte de France », j'avais eu mon compte et ma bite était sage, pour combien de temps? Mais je rêve, le regard perdu au plafond de ma chambre, je suis dans mon monde, que se passe-t-il? Et puis est ce vraiment un rêve? « Je pousse de toute la force de mes jeunes années. La fougue dans mes reins presse mon corps contre celle que je chevauche. Sa peau est douce et chaude et nos chaleurs se mêlent en nos ventres pressés l'un contre l'autre. Je ne sais trop comment m'y prendre et mes coups de reins désordonnés buttent contre son mont de Vénus, mon sexe suintant et avide cherche désespérément une issue et se perd dans les poils drus d'un sexe inconnu. Je sens les seins érigés contre ma poitrine, sensation inconnue de ces seins lourds et mous dont la pointe seule semble dure et vient agacer ma poitrine. L'ardeur de mon jeune age force les cuisses tendres à se disjoindre et à accepter mes reins entre elles, je glisse peu à peu entre les jambes disjointes et mon sexe glisse plus bas lui aussi, toujours à la recherche de l'issue. Je halète comme pour une course folle, mon cœur bondit dans ma poitrine à un rythme insensé, mon sexe plus furieux que jamais se presse contre une chair molle mais encore défendue par une broussaille drue et bave ses sécrétions, ...
... poissant ces poils qui me font barrage. Je sens sous moi la résistance de ma partenaire qui faiblit, le rythme de sa respiration c'est accru et ses doigts se crispent sur mon dos. Elle ne me rejète pas, elle ne peut le faire, elle en a envie elle aussi malgré la monstruosité de l'acte, elle accepte par amour de moi et par lassitude aussi d'une trop longue solitude. Ma bite bande de plus en plus fort, stimulée par la proximité de sa victoire. Je sens l'entrejambe convoité humide de moi et de la femme que je couvre, mon gland va et vient, furieux comme un fauve cherchant l'ouverture de sa cage. Mes coups de reins font aller et venir mon pieu de chair le long d'une fente qui se cache encore derrière des lèvres closes mais enfiévrées. Je deviens furieux dans mon délire sexuel et fais aller mon gland tout au long de ce trait que je pressens avide de mon dard, pendant que celle qui soupire sous moi a déjà admis sa défaite. Mon sexe s'enflamme et je ne sais plus bien dans quelle viscosité il va et vient. Mon seul souci est de pousser et pousser encore à la recherche de l'ouverture du vagin. Je sens que ma victoire est proche, même si j'ignore totalement quel sens elle va prendre. Mes vas et viens sont de plus en plus efficace, je creuse mon sillon dans ce mont qui se dérobe encore. Et soudain c'est l'ouverture, je n'imaginais pas cela ainsi : tout à coup je sens que mon gland semble m'échapper, il s'en va de lui même, il a trouvé sa voie et s'enfonce en un fourreau infiniment doux, ...