1. Mon prof de français (2)


    Datte: 19/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Je n’arrive jamais en retard. Jamais, sauf aujourd’hui, bien entendu. Il est déjà 8h20 quand j’arrive enfin devant la porte de ma salle de classe. M. Guy déteste que des retardataires interrompent son cours, mais je suppose que si je sèche il sera encore plus en colère. Anxieuse, je frappe trois fois avant d’entrouvrir la porte. Y-a-t’il une situation plus gênante que celle d’arriver en retard en cours, lorsque toute la classe a les yeux rivés sur soi, y compris le professeur qui vous scrute sévèrement d’un regard si… oh… si envoûtant. Je bredouille quelques mots d’excuse auxquels il répond d’un sobre « vous viendrez me voir à la fin du cours. » et vais m’asseoir au fond, puisque ma place habituelle a été prise. Je passe l’heure suivante dans un état d’énervement inimaginable. Qu’est-ce qui va m’arriver à la sonnerie ? Vais-je simplement me faire remonter les bretelles pour mon retard, ou a-t-il quelque chose d’autre en tête ? Mais trêve de finasseries, vous vous doutez bien que si ça n’avait été qu’un sermon, ça n’aurait pas valu la peine de le raconter. Les élèves quittent la salle, je reste scrupuleusement assise sur ma chaise. Des camarades me lancent un petit sourire d’encouragement, supposant que je vais prendre un savon. Personnellement je me dis que je vais prendre beaucoup plus. Pour l’instant, le prof efface les vestiges de son cours au tableau et me tourne le dos. Je me lève et m’approche. Lorsqu’il se retourne, je suis à genoux devant lui et je défais les ...
    ... premiers boutons de mon chemisier. Je ne sais pas ce qu’il me prend, je crois que même de dos il dégage un certain aura. J’ai l’impression que c’est la chose à faire. Son petit sourire en coin me donne raison. Les mains dans les poches, me surplombant d’autant plus qu’il est resté sur l’estrade, il m’observe ouvrir les pans de mon vêtement puis dégrafer mon soutien-gorge. Je m’immobilise, attendant un signe. Il s’approche et pose un genou à terre. Même ainsi il me dépasse d’une bonne tête. Mes seins pointent dans sa direction, j’ai tellement envie qu’il les touche. J’ai envie qu’il les empoigne à pleines mains, qu’il s’empare de tout mon corps. Et en même temps j’ai tellement peur de me faire rire au nez. Il tend la main vers moi, et… me file une petite baffe. « Bonne fille. ». Je sursaute, plus sous le coup de la surprise que de la douleur. Sa main glisse le long de mon cou, jusqu’à ma poitrine. Il attrape un de mes tétons et se met à la faire rouler entre ses doigts. Ce n’est pas grand-chose en soi, mais déjà je sens que ma chatte commence à s’humidifier. Juste quelques gouttes probablement, qui suintent entre mes lèvres… J’ai envie d’une autre fessée. Je veux sentir ses mains sur mon cul, me faire maltraiter par ses grandes mains chaudes. Il n’a pas l’air si mécontent de moi, au final. J’en serais presque déçue! Brusquement il se relève, sauf qu’il n’a pas lâché mon téton. Avec un couinement, je suis bien obligée d’accompagner le mouvement et de me relever en même temps que lui. ...
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