Quiproquos et Conséquences
Datte: 19/07/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Première fois
Voyeur / Exhib / Nudisme
... l’éclairage blafard de la lumière des toilettes, nous ne savions plus ni l’un ni l’autre comment nous en sortir. Nous sommes restés quelques instants silencieux et gênés.Finalement, elle fit un signe de tête vers le lieu d’aisance :« – Faut vraiment que j’y aille. »« – Oh ! Bien-sûr. »Je l’ai laissée fermer sa porte et je suis retourné sous ma couette.Deux minutes plus tard, elle rouvrait, fermait la lumière et je devinais son ombre passer à pas feutrés en direction de la chambre.*****Cet épisode agita quelque peu ma fin de nuit et je me suis réveillé tôt, l’esprit plus en alerte que d’habitude.Lorsque j’entendis un léger grincement, je sus tout de suite ce que c’était : Frédéric tentant sa petite incursion matinale en caleçon sans nous réveiller.Allait-il faire comme la veille ? S’arrêter au milieu du trajet pour voir s’il y avait de belles courbes endormies à surprendre ?Pour le savoir, je décidai de ne pas bouger et de faire semblant de dormir. Je gardai juste un œil à demi ouvert.Bingo !Il ne paraissait déjà pas pressé de parcourir les quelques mètres qui le séparaient des toilettes mais en plus il stoppa et regarda dans notre direction au moment où il fut au plus prés.Manque de chance pour lui, ce matin, Cath dormait à plat ventre et ne lui offrait « que » la vue sur son dos nu.Cela sembla pourtant le satisfaire car il demeura assez longtemps immobile.Je commençai à me demander ce qu’il foutait.D’accord, ma femme avait une chute de reins du tonnerre mais la sienne ...
... n’avait pas grand chose à lui envier, compte-tenu de ce que j’avais pu entrevoir pendant la nuit.Alors qu’attendait-il ? Qu’elle se retourne et lui en montre plus ?Peut-être bien.Ou peut-être pas.Soudain, je le vis s’avancer vers notre lit.C’était donc ça ! Il hésitait à s’aventurer un peu plus en avant pour mieux voir !Arrivé au bord du lit, il se pencha et tendis la main vers Cath.J’ai d’abord cru qu’il allait lui caresser le dos mais sa main ne la toucha pas.Elle descendit plus bas et accrocha le rebord de la couette.Très lentement, il descendit le couvre-lit et, petit à petit, mit à jour l’arrondi parfait du postérieur de mon épouse.Ce cochon voulait tout simplement lui mater le cul !Peut-être était-ce la dernière pièce qui manquait à son puzzle pour reconstituer l’entière nudité de sa coloc !En tout cas, il ne manquait pas d’air !Je ne pouvais pas rester comme ça sans rien faire.Mais en même temps, pas vraiment choqué, je m’amusais de cette situation et de cette espèce d’admiration que ce gars vouait au corps de ma femme, depuis deux jours.Il me vint alors l’envie d’accentuer la tentation, de le soumettre à une singulière torture.Dans un grognement endormi, je me suis tourné vers Cath et j’ai posé mon bras sur son dos. Très vite, ma main a parcouru doucement son dos et elle a ronronné d’aise.Sans tarder, je suis monté à l’assaut du petit cul à découvert, pelotant avec application les deux fesses rebondies et passant lentement mes doigts dans le petit sillon chaud, sous les ...