Quiproquos et Conséquences
Datte: 19/07/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Première fois
Voyeur / Exhib / Nudisme
... d’eau, ce fut au tour de Frédéric de baver d’étonnement.Devant notre regard effaré, elle crut bon de se justifier :« – Comme on n’a pas l’intention de ressortir, je me suis mise directement en chemise de nuit. »Et quelle chemise de nuit !Pas la chemise de nuit en vieille flanelle gris-marron de mémé Bernadette, non !La petite nuisette rose pâle ultra courte qu’elle s’était réservée pour quelque nuit coquine dont nous aurions pu profiter si nous avions été tous seul dans notre appart.La petite nuisette sur laquelle elle avait flashé lors d’une vente internet et qui s’avérait à peine plus longue que la serviette-paréo de Claire quelques instants plus tôt.Celle-ci apostropha d’ailleurs son homme :« – Chéri, ferme la bouche, t’auras l’air moins con ! »Il était clair que Cath voulait se venger de ma petite omission.Et quelle vengeance : Elle s’offrait littéralement au regard de notre voisin qui n’en demandait pas tant.Comme si de rien n’était, elle se mit à préparer la popote en compagnie de Claire qui la complimenta sur sa « tenue ».Puis nous tournant le dos, elles continuèrent leurs préparatifs tout en discutant à voix basse, sans doute sur la vacuité des hommes… et des affaires qu’on pouvait faire sur internet !En silence, j’observais le coté pile de mon épouse et la comparais à sa partenaire de cuisine.Elle faisait bien une tête de moins que sa voisine rousse mais ses formes étaient tout aussi bien proportionnées.A côté de l’impeccable taille mannequin de Claire, Cath ...
... faisait plus poupée gymnaste, plus tonique.Du coin de l’œil je voyais Fred reluquer son petit cul qui se trémoussait devant le coin cuisine.La soie rose était si fine qu’il était évident qu’elle ne portait rien en dessous.La petite voix revint illico :« – Pourvu qu’elle ne se baisse pas ! Pourvu qu’elle ne se baisse pas ! »*****Nos relations avec Claire et Fred étant devenues amicales, nos repas en commun devenaient de plus en plus joyeux et chaleureux.Mais ce soir-là, les filles avaient su instaurer, avec leurs tenues affolantes, un indéniable climat d’érotisme latent.Je sais pas si Cath cherchait vraiment à allumer Fred, mais elle ne sembla pas se soucier de cacher ses charmes plus que de nécessaire et, sans avoir besoin de faire preuve d’autant de ruse que lors de la première soirée, je suis prêt à parier que notre coloc eut de quoi se rincer l’œil au-delà de ses espérances.Il lui suffisait pour cela de plonger le regard au bon moment dans le décolleté généreux de ma femme ou de se baisser sous la table sous tel ou tel prétexte fallacieux.Et ça, il savait très bien le faire.Et moi dans tout ça, allez-vous demander. N’étais-je pas jaloux de ce manège ?Je vous ai déjà dit que je n’étais pas d’un naturel jaloux.Pas mal excité par ce petit jeu, j’attendais de voir ce que ça allait donner.Et j’ai bien fait car, par la suite, je n’ai pas été déçu du résultat.En effet, à force de chauffer leur monde, les filles étaient devenues chaudes comme la braise, surtout Cath.Si bien qu’elles ...