1. Quiproquos et Conséquences


    Datte: 19/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... élancé sur les splendides pistes bleues et rouges bordées de sapins majestueux recouverts d’une belle couche de neige virginale.Après une brève pause casse-croute sous un soleil radieux pour compenser le départ tardif, nous avons repris de plus belle, toutefois, alors que mes partenaires semblaient aller de mieux en mieux au fil de la journée, ce que j’avais pris pour de la fatigue se transforma chez moi peu à peu en une sorte d’état fébrile de plus en plus handicapant.Après avoir évité de justesse quelques chutes de débutant, je dus me rendre à l’évidence : Ca n’allait pas. Je ne pouvais plus continuer comme ça, je ne tenais plus sur mes jambes.Je fis part de mon désarroi à mes coéquipiers.Cath me touche le front.« – Hé ! Mais, c’est vrai, tu es brûlant de fièvre ! Tu vas devoir consulter, on rentre ! »« – Non-non ! J’ai juste besoin d’une aspirine et de m’allonger un moment. Toi reste ici avec Fred et Claire, je ne voudrais pas te priver de trois heures de ski juste pour me regarder dormir ! »« – Tu es sûr ? » Me demanda-t-elle avec un regard inquiet.« – Mais oui ! Amuse-toi avec eux. Moi, j’ai juste besoin d’un peu de repos et ce soir je pète la forme. »Un sourire espiègle s’afficha alors sur le visage de ma femme.« – Ah ouais, c’est ça ! Tu veux de préserver pour la jolie Claire ce soir ! » dit-elle amusée « Allez ! Vas-y beau gosse, va te reposer et garde des forces pour ta nuit. »Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle assumait vachement bien notre nouveau statut ...
    ... d’échangistes.On s’est embrassé et j’ai continué la descente tout seul en laissant Cath remonter vers les cimes en compagnie de Claire et Fred.Plus je descendais et plus mon état empirait.Arrivé à l’appartement, j’ai juste eu la force de me déshabiller après avoir avalé un médoc en grimaçant.Je me suis écroulé comme une masse et endormi sur le champ.******Plusieurs heures s’étaient écoulées mais il me semblait que cela ne faisait que cinq minutes que je dormais lorsque je fus réveillé par les rires des filles dans le couloir.Après avoir bruyamment entreposé leur matériel dans le casier extérieur, ils sont rentrés tous les trois avec des « Chuuut !! » mais c’était trop tard.Cath est entrée dans la chambre et a vu que je ne dormais pas (ou plus).« – Alors mon roudoudou, ça va mieux ? »« – Pas vraiment. »Entendant ma voix, Fred s’est encadré dans la porte :« – Alors, le grand malade ! Faut préparer la boite en sapin, ou bien ? »J’esquissai un sourire faiblard :« – Non, pas encore le pied dans la tombe mais il va falloir faire sans moi ce soir. »« – Oh. Dommage ! »A voir comment il tenait ma femme par les épaules, j’imaginais que l’après-midi avait contribué à un rapprochement toujours plus étroit et que le « dommage » n’était que pure rhétorique.Alors qu’il était déjà reparti « préparer un bon café chaud », Cath s’assit à côté de moi et plaqua sa main glacée sur mon front.« – C’est vrai que t’es encore chaud. Tu as pris des cachets ? »« – Oui, mais je veux bien une autre dose. »« ...
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