Quiproquos et Conséquences
Datte: 19/07/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Première fois
Voyeur / Exhib / Nudisme
... en provenance des tables voisines.D’autant qu’en plus des gestes équivoques, la conversation glissa parfois sur des sujets pour le moins scabreux, notamment lorsque nous en somme venus à évoquer notre délire méridien.Notre Justin s’attarda d’ailleurs anormalement longtemps pour débarrasser la table tandis que Cath expliquait avec moult détails son goût pour l’amour en plein air et le pied particulièrement intense qu’elle avait pris dans nos bras cet après-midi-là.Comment s’étonner, après ça, que le pauvre garçon laisse échapper son plateau qui se fracassa à grands bruits sur le sol ?Mais il n’aurait laissé sa place pour rien au monde.Et il avait raison : Sa persévérance et son œil aux aguets lui permirent sans doute de surprendre ma main qui, glissée dans l’échancrure de la robe de Claire, remontait outrancièrement vers son entrejambe.Comme, en face, le bras de Fred semblait dans une position identique sous la table, j’imaginais qu’une vue symétrique se proposait au regard du jeune homme.Ses gestes de professionnels devenaient de moins en moins assurés, pris d’une soudaine fébrilité.Il fallait que nous nous calmions sinon le pire était à craindre pour la vaisselle du restaurant.C’est donc plus discrètement qu’à l’issue d’un pari perdu, les filles ôtèrent et nous donnèrent leurs culottes mises en gage.De vrais gamins !Une heure plus tard, nous étions dehors, repus et passablement éméchés, mais surtout terriblement excités.Comment, pourquoi nous nous sommes retrouvés à courir ...
... en criant à tue-tête « FI-FILLES ! FI-FILLES ! » En poursuivant Claire et Cath qui poussaient des cris et des rires hystériques, je ne sais pas.Tout ce dont je me rappelle, c’est du regard éberlué que nous jetèrent les rares passants dans la rue.Heureusement que personne n’identifia les morceaux de tissu que nous faisions tournoyer au-dessus de nos têtes en hurlant car c’était un coup à se retrouver au poste et à tenter vainement d’expliquer à un fonctionnaire obtus que non, nous n’avions pas arraché les culottes de ces folles contre leur gré.*****De retour dans l’appartement, il n’y eu pas de round d’observation.Nous nous sommes rués les uns sur les autres dans un déshabillage mutuel et frénétique.Les meubles furent poussés sans ménagement, matelas, coussins et couvertures furent jetées sur la moquette du coin salon.J’ai embrassé les jambes, les poitrines, les parcelles de peau qui passaient à ma portée, j’ai senti ma chair palpée par des bouches et des mains avides. Un tourbillon de sensations nous emporta.Il m’est difficile de vous raconter dans le détail ce qui se passa ensuite.Toute tentative de description pourrait paraître répétitive, anatomique et ne pourrait que très fadement retranscrire l’élan de folie sexuelle qui nous avait submergé alors.Moi-même, je ne suis pas certain de tout me rappeler mais il me semble que nous avons exploré la plupart des combinaisons offertes par deux hommes dans la force de l’âge forniquant avec deux femmes absolument consentantes et « ...