Les mystères de l'Asie (6) - Histoires de Sexe

Les mystères de l'Asie (6)

... leur dépuceler le cul, hier soir, mais j’étais trop crevé, je pense qu’après celui de ta tante, je vais devoir m’occuper de tes sœurs. — Mais Zhao est si jeune, et sûrement encore vierge, Liuyu respecte tellement l’autorité, qu’elle n’aurait jamais osé coucher avec un homme avant le mariage. — Eh bien, tu ne connais pas bien tes sœurs, elles ont chaud au cul, et sont capables de beaucoup de choses pour se prendre une bonne bite dans la chatte. — Et mes parents, ils disent quoi ? demanda Lupang, un peu inquiet de retrouver une famille plongée dans la luxure et la débauche. — Tes parents ne sont pas au courant, et même si tes sœurs ont le feu au cul, elles restent très sages et très discrètes quand tes parents sont dans le coin. — Je n’arrive pas à croire que la petite Zhao se soit fait dépuceler avant moi. — Elle a 18 ans, elle est en âge de coucher avec qui elle veut, — Oui mais si je ne venais pas de coucher avec ma tante, je serais encore vierge, je suis l’aîné, et je suis le dernier à perdre mon pucelage, c’est pas croyable. — Je suis sûr que si tu avais su t’y prendre, elles t’auraient ouvert leurs ...

... cuisses, ce sont de belles salopes, toutes les deux. — C’est complètement dingue, je pars en vacances, laissant deux jeunes filles sages et intelligentes, et je reviens pour retrouver deux salopes en chaleur, je n’arrive pas à y croire. — Tu verras quand elles descendront, ça m’étonnerait qu’elles restent sages très longtemps, surtout si ta tante leur dit que tu l’as baisé. Meiwan se réveilla doucement, sentant une légère irritation au niveau de son anus, elle se leva et leur dit : — Vous m’avez fait sacrément jouir tous les deux. — Mais on a bien joui, nous aussi, n’est-ce pas, Lupang ? demanda Matt — Euh, oui, oui, c’est juste que je suis un peu perdu. — Tiens, on a qu’à faire un test, on ne va rien dire à tes sœurs de notre petite séance de ce matin, et on va voir combien de temps, elles tiennent avant d’essayer de se prendre un bon coup de bite. — OK, ça peut être drôle, admit Meiwan qui sentait le sperme à plein nez — Retourne avec ton mari, toi, il ne faudrait pas qu’elles se doutent de quelque chose. Meiwan récupéra sa nuisette et la remit avant de remonter dans sa chambre, pour rejoindre son mari. A SUIVRE