1. Nous deux, Mary et Pierre (2)


    Datte: 19/07/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    Chapitre deux : le réveil surprise Je me sens flotter, la plénitude m’atteint, je crois rêver. Non je ne rêve pas, j’entrouvre péniblement les yeux, l’esprit encombré de nos galipettes de la veille, je vois maman mettre en pratique sa première leçon. Elle s’occupe de ma bite, bien dure comme tous les matins, elle m’a décalotté le gland en me léchant, me suçant sur toute la longueur. Elle m’avale en totalité, c’est vraiment trop bon que de se faire sucer... J’adore cela, je décide de poser ma main sur son flanc, je la caresse tendrement. Qu’elle est belle ma Mary, s’activant sur mon engin ! Elle stoppe sa superbe fellation, me fixe de son regard mutin et me dit : « monsieur est quand même réveillé ? » je lui souris. « Ma chérie, je suis réveillé depuis un petit moment, mais je profitais du spectacle en silence, de la superbe pipe que tu me fais ». — « Espèce de petit cochon, tu profites en solo, et tu ne t’occupes pas de moi !... » Et elle replonge sur ma queue pour continuer son ouvrage. J’attire sa partie intime vers moi, nous sommes maintenant en 69, je m’occupe de son petit minou. Je passe mes doigts sur celui-ci, elle mouille déjà énormément, je lèche ses grandes lèvres, les aspire, enfonce ma langue au plus profond de son vagin et la fais tourner. Maman apprécie ce petit traitement, car elle gémit très fort, tandis que moi, le « petit pervers », je profite de la situation pour promener ma langue sur sa petite rondelle. Elle marque un temps d’arrêt, surprise par cette ...
    ... léchouille sûrement inconnue pour « elle ». Je n’insiste pas trop longtemps, chaque chose en son temps, je reprends le léchage de sa belle minette. De son côté, elle me pompe à nouveau comme une furie. J’ai décalotté son clito gonflé de plaisir, je bois son nectar qui coule. « Maman a très bon goût ! » lui dis-je en riant. Je lèche son clito avec frénésie, elle coule de plus en plus, je poursuis mon œuvre, maman arrête ses succions. Elle se cambre et jouit très fort en hurlant son bonheur, et s’exclame : « putain que c’est bon de se faire bouffer la chatte !... ». Après quelques secondes, et malgré l’intensité de son orgasme, maman se remet à l’ouvrage, son corps et son intimité sont encore secoués par des soubresauts, elle me pompe comme une affamée, à croire que sa vie en dépend. Ses joues se creusent tellement elle y met du cœur, je sens la sauce monter, je me retiens, mais cela m’est de plus en plus difficile. Je crie à maman : « je viens ! » Elle n’arrête pas sa besogne pour autant, me gardant toujours en bouche. Mes vannes s’ouvrent en grand, je me liquéfie dans sa bouche en de longues saccades. Maman lâche le morceau et avale tout mon jus. Après avoir repris son souffle, elle me nettoie entièrement. Je lui glisse : « que c’est bon de se faire sucer... » Mary vient ensuite se blottir contre moi, la tête contre mon épaule, nous reprenons nos esprits tous les deux, tout en nous caressant tendrement. Maman relève la tête et me dit : « tu te rends compte mon chéri, il a fallu ...
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