Le voisin est un pur-sang (1)
Datte: 19/07/2018,
Catégories:
Hétéro
... puissance, une bête de chair et de sexe avec un visage d’ange. Une star du porno en devenir. "Tu me chauffes en cam, je me branle ?" demanda-t-il. "Non je ne peux pas" "Pourquoi ?" "Mon mari va rentrer" "Tu es mariée? Excitant. Tu l’as déjà fait cocu ?" "Non" "Si tu veux je suis open" "Je dois y aller là, bye" Et la conversation s’est arrêtée là. On a débriefé et je lui ai dit qu’elle était gonflée. Puis, excités par le jeu on a baisé comme des fous pendant deux bonnes heures. Jamais ma femme ne m’avait traité comme cela. Et dans le fond, cela m’a troublé de la voir si émoustillée par ce mec. Jamais elle n’avait fait un truc pareil avant. Là encore je me suis senti jaloux de ce qu’il avait produit sur elle et que je n’avais jamais obtenu.Elle était déchainée, folle de sexe, très salope, utilisant des mots comme elle n’en employait jamais : ’Fourre-moi, casse -moi la chatte; lime-moi à fond. Bourre-moi, enfonce ta bite jusqu’aux couilles..." etc... Je l’ai prise dans toutes les positions. En levrette, c’est ma préférée. Mon gros gland écarte les lèvres et entre progressivement, puis je bourre à fond, à toute vitesse. J’aime le bruit des chairs qui claquent. Je m’agrippe aux nichons et aux hanches. Le 69 ne fut pas oublié. Allongé sur le dos je fourre ma langue le plus loin possible dans le con. Je lèche la rondelle. Une pipe profonde, lente, savamment dosée, accompagne le mouvement. Mon sexe disparaît presque entièrement dans la bouche, la salive où se mêle ma mouille, déborde ...
... sur les poils de mes boules vite trempés. Je l’ai prise debout, la portant dans mes bras, entièrement empalée sur mon pieu tendu à mort. On n’en pouvait plus de niquer. On dégoulinait de sueur. Et finalement, elle m’a capturé le sexe entre ses deux gros seins pour une branlette finale. Elle déteste que je lui éjacule sur le corps. Jamais je n’ai pu lui faire une faciale ou une buccale. Elle prend tout mon jus dans la chatte, un jus surabondant mais stérile, mes spermatozoïdes étant rares. Mais là, elle m’a laissé éjaculé entre ses nibards, la bite bien dressée, la fontaine s’est libérée d’un coup, les jets ont fusé en hauteur avant de retomber en larmes épaisses sur mon torse, son visage, sa gorge, ses tétons et sur mon gland qui s’est recouvert d’un nappage crémeux. Elle a desserré ses nichons et a pris ma pine à la main et, je n’en suis pas revenu, elle ma gobé le gland, elle s’est précipitée sur le bout foutreux et ma récuré le nœud bien à fond. Elle a même dit : "Ce n’est pas si mauvais". Il fallait vraiment que l’autre l’ait chauffée pour en arriver là... Nous nous sommes allongés, épuisés et, tout en essayant de m’endormir, je revoyais les images pornographiques de l’adonis sur internet, qui à quelques mètres de chez nous était peut-être en train de se pignoler devant une inconnue, l’hypnotisant de son corps comme il venait de d’hypnotiser ma femme avant qu’elle se jette sur mon sexe. Je me disais qu’il lui en faudrait peu sans doute pour qu’il l’attire de mon lit dans ...