Caroline, la découverte du plaisir - Histoires de Sexe

Caroline, la découverte du plaisir

... qui s’inquiète du silence de sa femme, lui demande si tout va bien. Elle lui répond que oui avec une pointe de plaisir dans la voix. — J’en conclus que ç’a t’as plu, notre pause pipi, lui dit-il avec un sourire en coin.— Oh oui, c’était magnifique, mais j’aurais préféré que personne ne nous voie, dit-elle.— J’ai trouvé ça très excitant moi, dommage qu’il ne se soit pas montré plus tôt il aurait pu participer.— Mais ça va pas non, jamais je n’aurais accepté qu’il vienne avec nous !!! Tu me prends pour qui !!!— Je pensais juste qu’excitée comme tu étais, une bite de plus ne t’aurait pas déplu.— Tu me laisserais donc prendre par un autre homme devant tes yeux ???— Ça ne me gênerait pas, au contraire je crois que j’adorerais ça. De plus, tu le sais très bien puisque je t’ai déjà dit que mes deux plus grands fantasmes étaient de faire l’amour à trois, soit avec deux femmes, soit avec un couple.— Je le sais mais je crois que je ne suis pas encore prête à franchir le cap pour l’instant.— Ce n’est pas grave, j’attendrai, mais pas trop quand même…— Merci mon amour, lui dit-elle tout en caressant la bosse naissante de son pantalon. La route défile et Caroline s’assoupit, un pied sur le tableau de bord, ce qui fait que sa jupe remonte sur son ventre. Hubert aperçoit sa motte imberbe et ne peut s’empêcher d’approcher sa main sur cette cuisse dénudée. Il caresse lentement celle-ci avant de s’aventurer vers ce mont tant désiré qui s’avance au contact des doigts inquisiteurs. Caroline se ...

... réveille à cet instant et demande à Hubert d’arrêter ce qu’il fait. Elle jette un coup d’œil vers son mari et aperçoit son pantalon déformé par ce sexe tendu vers le ciel mais elle ne fait rien et sourit de la frustration de son petit mari. Arrivés à Toulouse, les déménageurs viennent et déposent toutes les affaires dans la maison. Un peu fatigués, Hubert et Caroline se posent sur le canapé en buvant une bière bien fraîche avant de commencer le rangement. Pendant le rangement, Hubert n’arrête pas de reluquer sa femme qui n’a toujours pas de culotte et la touche, l’effleure le plus souvent possible. Caroline s’en aperçoit mais le laisse encore une fois languir. Une fois fini, Caroline va s’allonger sur le lit conjugal bientôt rejointe par Hubert. — Alors mon chéri, ça y est, on a enfin fini, je n’en peux plus moi, un bon massage me ferait du bien… Il se penche sur elle, lui enlève son pull et son soutien-gorge puis commence à la masser, d’abord le cou puis les épaules, le dos, les fesses où il insiste un peu plus, les jambes, les pieds puis remonte jusqu’à son cou et recommence. Elle soupire d’aise. Il s’arrête bientôt au niveau de son derrière, assez large et moelleux, et la caresse sans relâche, tout en glissant un doigt dans sa raie culière. Elle remonte le bassin pour faciliter le passage de ce doigt inquisiteur. Il se penche alors et lui lèche le verre de montre, ce qui la fait frémir de plaisir, il fait entrer et sortir sa langue à intervalle régulier, Caroline ondule de ...