L'origine de notre relation - Histoires de Sexe

L'origine de notre relation

... accueillait et même au milieu d’un champ de vaches, mais… L’avant-dernier jour de nos vacances fut une journée continue de pluie. Après le déjeuner, faute de pouvoir sortir, Selma et moi nous sommes enfermés dans la chambre pour faire une sieste. Si Selma avait réellement l’intention de faire la sieste, j’avais d’autres idées en tête. Une fois déshabillé et allongé, je commençai à passer ma main sur ses hanches et ses fesses. — Toi, tu as une idée derrière la tête !— Pardonne-moi mais je ne peux pas résister ; que veux-tu ? Avec un aussi joli matériau, ce serait dommage de se contenter de dormir. Comme je voyais que mes allusions, pas forcément très fines, ne semblaient pas la contrarier, je me disais que je pouvais continuer. Quelques semaines auparavant, elle était partie dans un congrès international en Italie avec trois collègues que j’avais rencontrés juste avant le départ. Durant son absence, je n’avais pas pu m’empêcher d’échafauder des scénarios graveleux de Selma avec ces trois-là. Tout à coup, allongé nu à côté de Selma, ces scénarios me revenaient. Pourquoi je me sentais maintenant le courage d’essayer de lui en parler ? Je ne sais pas. Probablement un désir encore plus fort. — Tu te souviens, ton séminaire avec tes trois collègues à Milan, tu ne m’as pas trop raconté comment ça s’était passé ?— Qu’est ce que tu veux savoir ?— Tu t’es bien entendue avec tes trois collègues ? Après les conférences, vous passiez vos soirées ensemble, c’était comment ?— Tu ne serais ...

... pas un peu jaloux, toi ? Nous avons passé de bons moments mais je te rassure, il ne s’est rien passé d’autre. Que vas-tu imaginer ! Et là, j’ai osé me lancer. Ses trois collègues étaient des hommes entre 30 et 45 ans, pas vilains garçons, et mon imagination avait été fertile. — Tu sais, durant ces quelques jours d’absence, je me suis fait des films. Mais pas forcément des choses qui m’ont énervé. J’ai plutôt imaginé que tu passais du bon temps avec tes collègues mais sans que ça me déplaise. Je craignais un peu sa réaction mais, pour ma plus agréable surprise, elle s’est mise à jouer le jeu. — Dis-moi, ça a l’air intéressant ce que tu as imaginé. Raconte-moi.— Je me suis fait des petites histoires érotiques pour pimenter mes soirées à t’attendre. J’imaginais que vous rentriez du resto le soir et qu’un des collègues proposait de boire un derrière verre dans sa chambre. Vous alliez tous les quatre dans la chambre. Il servait de l’alcool. Après quelques verres certaines barrières tombaient. Comme tu étais la seule femme, ils auraient pu te demander certaines choses. Pendant que je commençais à raconter, elle s’est tournée sur le côté puis est venue se coller contre moi. Comme nous étions nus, ses fesses sont venues s’appuyer sur mon sexe déjà très largement déployé. — Je sens bien que cette histoire t’a beaucoup excité. J’aime bien, continue de me dire à quoi tu as pensé. Tout en parlant, elle agitait lentement ses fesses contre ma verge jusqu’à l’insérer entre ses cuisses. — ...