Réaliser ses fantasmes ?
Datte: 21/07/2018,
Catégories:
fh,
alliance,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
fsodo,
confession,
... m’avançai doucement vers la porte et regardai par le trou de la serrure. Merveilleuse vieille porte sans clé ! Elle était là, se déshabillant tranquillement à un mètre de la porte. Je la regardai, pétrifié, à la fois par la peur qu’elle me voit et par l’instant magique qui se profilait. Elle enleva son soutien-gorge et je bloquai ma respiration. Une poitrine d’une fermeté d’adolescente qui me donna une érection instantanément. En culotte, elle se mit à ranger son linge et s’approcha de la porte dangereusement. Tant pis, je ne bougeai pas. Bien m’en a pris car là, elle enleva sa culotte en dentelle noire. Assez poilue, je vis quand même distinctement son bouton d’or et de fines lèvres d’une faible longueur. Elle se tourna pour enjamber la baignoire. Ce que je vis en dernier, ce furent ses fesses écartées. Une demi-seconde m’a suffit pour ancrer profondément ce moment en moi : la vision de son anus au contour fin. Le sexe me fit mal d’être aussi tendu. Je courus dans mon lit, envahi complètement par un désir fou, torride. La prendre en levrette ne suffirait plus. J’éjaculai abondamment en revoyant cet œillet que je touchais dans mon fantasme. Les jours qui suivirent furent très difficiles. Je n’arrivai plus à penser à autre chose qu’aux fesses de ma ravissante belle-sœur. Cette obsession complètement envahissante était nouvelle pour moi. Je travaille pourtant dans un milieu où les femmes sont nombreuses mais cela reste professionnel. L’homme pense au sexe de trois à cinq fois ...
... par jour disent les sexologues. Oui, sauf quand ils pensent à leur fantasme favori. Car là c’est carrément trois à cinq fois par heure ! Quand, le vendredi soir, je retrouvai mon beau-frère et son épouse, ce fut comme une gêne qui s’empara de moi : comme si tout ce qui m’avait empli cette semaine pouvait se lire sur mon visage, dans mes yeux. Je crois qu’elle le perçut, car elle fut particulièrement enjouée ce soir-là avec moi. M’ayant entendu monter me coucher, elle sortit du bureau dans sa nuisette blanche. Elle s’avança vers moi pour me souhaiter une bonne nuit. Elle me souriait, moi, pas super à l’aise. Avant de rentrer, elle se retourna et me dit à voix basse : — Ouf, heureusement qu’il n’y a pas de vent ici… tu aurais une vue superbe, vu que je n’aime pas dormir en sous-vêtement !— J’en rêverai pourtant, bredouillai-je bêtement. Son regard se fit plus doux, plus tendre. Si c’était une invitation, je n’y répondis pas, trop figé par l’importance de l’instant. Je me couchai avec ma fidèle érection si dure, si intimement liée à celle qui ne s’endormait pas loin de moi. Le lendemain matin, j’entendis mon beau-frère se lever, suivi rapidement par ma femme. J’attendis le bruit familier du petit déjeuner en bas pour me lever doucement. Ce que je fis alors, me semble encore un peu fou et d’une audace inhabituelle chez moi. Je poussai la porte du bureau. Ma belle-sœur était couchée sur le ventre, sa nuisette remontée à mi-dos. Je regardai rapidement ses fesses dans la pénombre ...