1. Sauter le pas,... Ne plus jamais boire !


    Datte: 21/07/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... l’embrassant gentiment. Non, j’ai ramassé mes fringues sans bruit, je me suis habillé en vitesse dans le couloir et je me suis tiré comme un voleur ! Je descendais les escaliers quand la porte de l’appartement du dessous s’ouvre, un jeune mec en sort, il m’agresse direct : « Vous avez vu le bordel que vous avez fait cette nuit à 4h en rentrant ? Et après, j’en parle même pas, y’en a marre ! ». J’aurais pu continuer sans m’arrêter, mais voilà comme j’étais encore bourré, j’ai dit : « Pourquoi, t’es jaloux, tu veux ta dose salope ? ». Le mec me répond : « Faut voir ce que t’as dans le pantalon, j’aime ceux qui en ont une bonne et qui savent s’en servir ! ». J’étais descendu au palier inférieur, j’ai immédiatement fait demi-tour, je l’ai poussé chez lui, j’ai donné un coup de pied pour fermer la porte, elle a claqué, ça a résonné dans toute ma tête mais, déjà, j’avais ma bouche sur la sienne. Il enlevait mon T-shirt, je déboutonnais sa chemise, il ouvrait mon jeans, je m’occupais de baisser le sien. On s’est collé l’un à l’autre, nos deux bites bandées se frottaient l’une contre l’autre à travers nos boxers. J’ai commencé à lui masser les fesses puis j’ai passé les mains sous l’élastique de son sous-vêtement pour caresser sa raie et titiller sa rondelle. Il commençait à gémir tout en me caressant le dos. Il s’agenouille et commence à sucer ma bite, il lèche mes couilles, me regarde avec un sourire vicieux et me dit : « ça sent la jute de femelle, t’as du lui mettre cher, elle ...
    ... a joui sur tes couilles, tu l’as faite gueuler pendant plus de deux heures, j’en veux autant, t’as intérêt à assurer ! », il replongea sur ma bite. Deux heures de baise dont je ne me souvenais quasiment pas, jamais plus je ne boirais ! Le salaud savait très bien sucer, sa langue s’amusait avec mon gland, il salivait abondamment, ça coulait sur mes cuisses, il s’est soudainement mis à faire une gorge profonde puis a commencé les va-et-vient tantôt rapides tantôt lents, c’était divin ! Mon mal de tête disparaissait peu à peu. J’ai pensé au mensonge que nous sortent nos femmes : «Pas ce soir, j’ai mal à la tête », les mecs, baiser fait passer le mal de tête, ne vous faîtes plus avoir ! Au bout d’un long moment, il s’est relevé et m’a dit : « On va dans la chambre, tu connais le chemin, mon appart est le même que celui de Manon ». Ah, elle s’appelle Manon, la jolie brune ! Arrivés dans la chambre, je le jette sur le lit, je le mets sur le ventre, je plonge entre ses fesses que je malaxe et j’écarte puis je lui bouffe le trou. Je l’entends dire : « Oh oui, c’est bon, continuuuue. ». Je le doigte en le limant de plus en plus vite, il mouille, je suce, dans l’état où je suis, je trouve que c’est bon et en même temps, je lui masse le dos, il cambre son cul de plus en plus, plonge la tête dans l’oreiller et gueule de plus en plus fort. Je lui ouvre le cul comme ça pendant un très long moment, il finit par hurler en jouissant du cul, j’ai alors trois doigts en lui, je les enfonce, les ...