1. Hell's (1)


    Datte: 21/07/2018, Catégories: Zoophilie,

    ... aucun désaccord et la bête avait vite compris qu’elle ne devait contrarier ni l’un ni l’autre. Alors il passait des heures à les suivre des yeux alors qu’ils dormaient. De temps en temps Michel ou Claude lui intimait l’ordre de sortir de la pièce et en bon garçon, il se rendait près de la porte, à l’extérieur et parfois il assistait à d’étranges ébats. De plus il reconnaissait souvent avant eux cette odeur qui caractérisait si bien ces corps à corps et depuis quelque temps, à la moindre alerte olfactive, il allait de lui-même s’étendre en dehors de la chambre. Mais il suivait quand même du regard ces mouvements du maitre qui dans des positions bizarres faisaient crier Claude. Il la voyait également se servir de la tige raide du mari, pour des succions épiques et comme les deux-là semblaient apprécier ce qu’ils se faisaient, il ne bronchait pas. Michel de temps en temps n’était plus là, de longues journées où le jeune Brachet parcourait toute la maisonnée en cherchant le patron. Mais le soir Claude ne lui interdisait pas de monter se coucher contre elle, alors il savait aussi apprécier ces moments d’absence. Et Hell’s ce matin sentait que l’ardeur mise à se vautrer l’un sur l’autre indiquait sans doute une nouvelle période de disette à venir pour la maitresse. Il se roula en boule sur le seuil de la porte alors que Michel à genoux derrière sa femme à quatre pattes, donnait de violents coups de reins. Elle criait, se raccrochant au drap froissé, son souffle haletant. Le ...
    ... Brachet pour la première fois de sa vie sentit son corps réagir à ces stimuli visuels, olfactifs et bruyants. Quelque chose en lui se métamorphosait. Son sexe se mit aussi à grandir et sortir de son fourreau. Il passa sa langue sur cette pine rouge toute neuve, tout en continuant à suivre les déhanchements des deux amants. Leur petite affaire terminée, Michel prit sa douche et chargea une valise dans le coffre de sa berline. Il embrassa sa belle sur la bouche et sa main vint aussi se perdre sur le dos de Hell’s tout frétillant d’une telle attention. Quand le véhicule gravit la légère montée vers la route, il suivait encore le maitre qui partait. Le portail les séparait définitivement en se refermant doucement. Barrière bien réelle que le Brachet n’avait pas le droit de franchir seul. Alors tête basse, il attendit là un long moment, jusqu’à ce que Claude l’appelle. — Hell’s ! Viens là mon beau ! Allons viens ! Papa reviendra bientôt ! Viens, nous allons nous promener. Ne sois pas triste. Le Brachet revint sans se presser vers sa maitresse. Elle était en jogging et la laisse dans sa main indiquait que la promenade se profilait à l’horizon. Il la sentait un peu abattue aussi et il vint donc se frotter contre ses jambes. — Tu es un bon chien. Nous allons en forêt. Alors si nous rencontrons un autre ami à toi, tu n’aboies pas, tu ne cours pas après les demoiselles non plus ! Compris ? Sinon… Je te passe la laisse ! Allez, c’est parti ! Le sentier autour du lac, il l’avait fait des ...
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