1. SOS... POUR COPINE EN DETRESSE...


    Datte: 21/07/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Ce soir-là, en rentrant du travail je trouvais ma femme avec Sylvie. Une bonne collègue à elle. Elle était mignonne, mais balourde. Aux cheveux blond-roux. Qu’elle portait longs, retombant constamment en pluie sur son visage. Ma femme m’annonça qu’elle l’avait invité à dîner. Ce qui était loin de me gêner. Surtout que Sylvie fraichement divorcée était une gentille fille, très agréable. Après avoir bien arrosé la nouvelle vie de célibataire de sa collègue, ma femme avait pensé qu’il était préférable qu’elle passe la nuit dans la chambre d’un gamin. Parti pour le week-end chez ma sœur. Après m’être brossé les dents, je partais en direction de ma chambre. Alors que je passais le pas de porte, je vis ma femme allongeait sur notre lit. La culotte bâillait, laissant deviner les grandes lèvres de la chatte. - Je ne sais pas ce qui m’arrive ce soir mais j’ai envie que tu me fasses jouir… Elle avait dit ça avec un naturel confondant. Comme si elle proposait une balade dans un parc. - Pourquoi pas, répondais-je, tout en faisant tomber mon slip à terre. - Je n’ai pensé qu’à ça pendant le dîner… Je vins m’allonger auprès d’elle et posai mes lèvres sur les siennes. Au contact direct de ma main sur sa peau, elle frémit. Laissa échapper un gémissement. Elle avait gardé les jambes écartées. J’avais posé mes doigts sur sa chatte à travers la dentelle. À ce contact, elle ne put s’empêcher de gémir de nouveau. Je glissais mon index dans sa culotte, caressais les petites lèvres. Nos langues ...
    ... s’entremêlaient toujours. Puis je m’étais glissé le long de son corps pour arriver à la hauteur de son sexe. Écartant la dentelle sur le côté, j’avais pris ses petites lèvres en bouche, les aspirants. Dans un mouvement de va-et-vient, je les avais sucées longtemps. Elle avait posé ses mains sur le haut de mon crâne, alors qu’elle gémissait de plus en plus fort, en gesticulant le bassin. Puis la pression de sa main se fit directive, voulant me conduire jusqu’à son bouton. Mais ce n’était pas prévu à mon programme. Elle ondulait toujours du bassin. Caressant mes cheveux. Avant de les tirer fortement me faisant abandonner son sexe. M’échappant, elle se positionna à quatre pattes sur le lit. Ses petites lèvres pendaient sous les plis de la culotte. Je pris position entre ses jambes, bouche ouverte, langue tendue. Par à-coups, elle basculait son bassin afin que son sexe revienne au contact avec ma bouche. Puis elle écarta sa culotte, et vint placer d’elle-même son clito sur ma langue. Elle se mit à onduler du bassin, cherchant son plaisir en se frottant. Elle geignait de plus en plus fort. M’inondant la figure de la liqueur. Finalement, elle lâcha un râle ultime, étonnamment aigu, je compris qu’elle avait joui. - Je ne tiens plus ! J’ai envie… j’ai envie… de ton jus dans au fond de ma chatte… Pour cela, elle m’enfourcha, s’empala avec un grognement de plaisir. - Oui… Oui ! Ça y est je te sens. Tu es dedans. Que c’est bon… défonce-moi ! Tu entends, défonce-moi. Elle s’exprimait en ...
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