1. ANCIENNE ELEVE


    Datte: 21/07/2018, Catégories: Entre-nous, Les femmes,

    ... toujours de plus en plus haut à chaque aller retour. Elle laissait échapper de petits râles et a replié une jambe pour mieux écarter ses cuisses. Il était temps, pour moi, de partir explorer les trésors cachés et encore protégés par les collants. J'étais tellement excitée qu'il me fut impossible de ne pas aller parcourir ma fente ruisselante de mouille. A ma grande surprise ma main a senti qu'elle ne portait rien sous son collant et que ce dernier était ouvert à l'endroit stratégique. Ma main a donc atteint, sans entrave, un coussinet de mousse des plus soyeux plein d'une rosée odorante et des plus suaves. Mon doigt était inondé de mon propre miel et je le lui ai donné à sucer, ce qu'elle fît comme un enfant l'aurait fait d'un sucre d'orge. C'est trop bon! me dit-elle. - Toi aussi dois être succulente, mais allons dans ma chambre nous serons plus à l'aise. Elle s'est mise debout, d'une main j'ai défait la boucle de son kilt pour qu'il tombe et de l'autre les boutons de son chemisier pour pouvoir contempler les petites merveilles que ma main avait déjà découvertes et mes yeux sa blonde toison moussue couverte des gouttes de sa rosée. - Tu es une égoïste, moi aussi j'ai envie de voir ton corps avant de le parcourir de mes mains et de mes lèvres. - Mais tu va le voir! Et j'ai prestement dégrafé ma jupe et enlevé mon tee-shirt apparaissant dans toute la nudité qu'elle souhaitait. - Que ta toison est amusante, cette bande autour de tes lèvres, je n'avais jamais rien vu de ...
    ... semblable. Tu es épilée ? On ne voit pas la moindre repousse donc tu ne te rases pas. - Non, mon implantation est telle quel naturellement, je coupe simplement mes poils quand je les trouve trop longs. Nous nous sommes enlacées, étant de la même taille, il nous était facile, en nous cambrant un peu de frotter nos seins et nos pubis l'un contre l'autre tandis que nos langues se retrouvaient avec ardeur. Pour lui montrer le chemin de la chambre j'ai pris, dans ma main, une de ses petites fesses à la douceur d'une peau de pêche et la fermeté d'une petite pomme tandis qu'elle me prenait par la taille pour se laisser conduire. J'avais pris soin, avant son arrivée, de régler le rhéostat de l'éclairage pour que la lumière soit la plus douce possible. Je lui ai dit de s'allonger sur le lit, jambes écartées, afin de me permettre de m'assoire en tailleur entre ses jambes. Tu as remarqué que pendant que je découvrais tes jambes ravissantes je me caressais la fente en même temps; je vais continuer en face de toi jusqu'à l'orgasme, celui que tu me donneras ensuite, après que je t'aurai fait jouir, n'en sera que plus intense. Elle a rivé son regard sur mon doigt qui parcourait ma fente de plus en plus vite tandis que mon clitoris, bien décalotté, pointait tel un dard. A peine ai-je commencé à le toucher qu'une onde de plaisir est partie de mon mont de Vénus pour se diffuser dans tout mon corps, qu'un cri de plaisir a fusé et qu'un jet, venant de ma fontaine intime est parti arroser son coussinet ...
«1...345...8»