1. dayouth


    Datte: 21/07/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    Lorsque je croise un couple dont l’homme est nettement plus mûr que la femmel’accompagnant, je ne peux m’empêcher de penser à notre première année de mariagedatant d’un peu plus trois ans, en décembre 2001, lorsqu’Akila et moi Nadir avionsemménagé dans un petit appartement intégré dans une maison individuelle, à Alger. Lepropriétaire, un veuf de 51 ans, fut d’abord très réservé lorsque j’avais visitél’appartement qu’il proposait en location car il exigeait des ressources financièresélevées, alors que Akila et moi, bien que très correctement diplômés, gagnions encorepeu à l’époque où chacun débutait. J’avais insisté en lui promettant un règlementrégulier et lui demandais d’être sympa pour un couple de jeunes mariés. Il a réponduqu’il faudrait que la jeune mariée soit très jolie pour qu’il accepte de nous lelouer.Je me doutais bien qu’un veuf relativement âgé, même s’il portait beau, était du genrevieux cochon, et je savais Akila si belle qu’il ne pourrait qu’accepter. Après tout,me disais-je, si cela lui fait du bien de regarder ma belle épouse, il n’y avait pasde mal à cela, même si chez nous "Haramat" de reluquer la femme d'un autre. Akila quej’avais mise au courant s’était offusquée, dans un premier lieu puis devant l'urgencequ'oblige notre réalité elle baissa les yeux. Elle s'est habillée en courte jupe sousson manteau pour la visite du logement. Abdelkader, c’est ainsi qu’il s’appelait cetancien serviteur de l'Etat algérien,avait été subjugué et nous avons signé le bail. ...
    ... La vue des jolies cuisses de ma petitefemme qui avait enlevé son manteau, ayant produit son effet.Il s’était montré discret au début et nous avons vécu là avec Akila la folie despremières semaines d’un mariage pétillant. Nous faisions l’amour comme des fous,jusqu’à épuisement. Elle découvrait vraiment le sexe, après nos trois années d’étudetrop studieuses et surtout les interdits de la société algérienne en la matière. Elleaimait cela et était toujours partante et m’excitait violemment car elle ne parlaitque de cela, de vive voix, sur nos portables ou dans ses SMS. J’aimais la masturber eton délirait sur des folies, des fantasmes tout en s’adonnant sans retenue à notreoccupation favorite. Elle entrait dans mon jeu en se disant être ma petite putainpersonnelle, prête à tout. Puis une fois nous avons repris nos esprits elle rougissaitde honte pour les mots qu'elle venait de prononcer.Petit à petit, Abdelkader se fit plus présent, venant nous saluer le soir en nousapportant notre courrier, discutant un peu autour d’un café. Il n’avait d’yeux quepour elle et cette adorable coquine adorait me piquer en s’habillant courte dèsqu’elle rentrait du travail, pour le recevoir craquante à souhait. Il ne cessait de lacomplimenter, puis s’enhardit en plaisantant qu’en cas de difficultés de paiement denotre loyer, il se payerait en nature sur elle, ce qui la faisait glousser. Dès que laporte se refermait sur lui, je me jetais sur elle, et je la traitais volontairement detous les noms : elle ...
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