Madame... (2)
Datte: 22/07/2018,
Catégories:
Divers,
... sur le dos et ma bouche partit lui donner du plaisir en m’installant entre ses cuisses dodues. J’ai tout lécher, du cul au pubis en passant par ses pieds et ses seins. J’ai tout embrassé, j’ai même mordillé, étiré, tordu cette chair que ne demandait que ça. Elle fut la première à demander grâce. Et moi, je ne me contrôlais que très mal, j’en voulais encore. Je me fis tendre, lascif, presque amoureux avec Agate. Elle me confia que j’étais le premier à ne pas la traiter de boudin, de grosse truie. Je lui rétorquais qu’aucun humain ne méritait d’être affublé de mot si cruel. Elle me donna un bain, oui, elle inversa les rôles. Je pus encore la prendre un fois avant de ne plus pouvoir, là, dans cette vaste baignoire. On y resta longtemps, sans parler, juste à nous bécoter tendrement, à nous caresser. Quand on sortit de la salle d’amour, il faisait nuit. Je voulus l’entrainer dans ma chambre, elle lâcha ma main, son moment de liberté se terminait aux douze coups de minuit, comme pour cendrillon. Je monte péniblement ces deux étages et tombe comme une pierre sur le lit. Au matin, deux filles arrivèrent comme la veille, je ne me souviens plus de leur prénom, si, d’une, Caroline. Belle, allemande, je vis de suite que les hommes n’étaient pas sa tasse de thé. Portant, avec mon allemand, elle se détendit face à ma nudité, elle me baigna même. Je me gardais cependant d’être entreprenant avec elle. Je crois même qu’elle en fit toute étonnée. Les deux m’habillèrent de ma salopette et rien ...
... d’autre. D’une paire de ciseau, Caroline coupa et retira la fermeture éclair de ma braguette. Sa main caressait brièvement mon pénis. Je crus le bon moment de déposé un furtif bisou sur sa joue. Elle me sourit encore, me remercia de la respecter. Gisèle arriva, impériale dans une tenue de Maîtresse de maison sévère. « Elle n’aime pas les hommes depuis son viol. » Affirme Gisèle. « Caroline, jamais je ne toucherais un femme à qui je fais peur parce que je suis un homme. » « Danke, Meister. Danke » Me répond caroline « Madame appréciera votre geste. Personnellement, si je ne suis pas un fan des hommes, vous me plaisez. À croire que votre éducation porte ses fruits. » Déclare Gisèle « On m’a éduqué dans le respect de l’autre, ni plus ni moins. » Complétais-je. « Danke Meister, c’est tout à votre honneur, un soir, peut-être, je viendrais. » Me dit Caroline. « Ne te force pas, tu n’y es pas obligée. Mais sache que je te trouve très belle. » Ajoutai-je Elle posa ma ceinture d’outil, je pris ma trousse, je n’avais plus faim. Gisèle me guida vers la chaufferie. En descendant, elle me fit un topo sur les filles de Madame. La plus part avaient subis des affronts violents, des insultes, de viols pour une ou deux. J’en étais attrister que cela se passe ainsi dans ce monde de merde. Gisèle m’arrêta à la porte de la chaufferie. Sa main caressa ma joue. Elle m’avoua avoir subi un viol et pas six jeunes hommes. Je n’ai pas résisté, je l’ai embrassée tendrement. Dans ce local, je fis le tour ...