Ivan à la conquête de l'Ouest - Histoires de Sexe

Ivan à la conquête de l'Ouest

... cuisine, elle enleva ses chaussures d’un geste élégant, j’en profitais pour la détailler. Elle était de taille moyenne dans les 1,60 m environs, de jolies courbes, des hanches larges, une poitrine volumineuse, qui tirait sur son chemisier, cheveux longs soyeux, regard d’un bleu intense. Je m’installais sur le canapé. J’avais vraiment besoin de boire quelque chose, elle revint de la cuisine pieds nus et sensuelle, j’avais de plus en plus envie d’elle. Elle déposa sur la table basse, qui était devant le divan, diverses bouteilles et collations. — J’ai de la Vodka, me dit-elle, elle n’est peut être pas aussi bonne que chez vous, mais c’est ce que j’ai trouvé de mieux…— Ça ira très bien, lui répondis-je. J’avais envie d’autre chose qu’un verre de Vodka, j’avais envie de choses plus fortes, de sensations enivrantes, d’un corps à corps avec elle, mais je ne pouvais pas lui avouer ça. J’acceptais donc le verre sans la quitter du regard, elle se servit elle aussi, elle s’installa tout près de moi. Je pouvais sentir son parfum subtil de femme, il m’enivrait plus que l’alcool. La conversation débuta tranquillement, nous nous sommes présentés plus en détail. Elle était seule depuis quelques mois, son ami l’avait quittée pour une autre femme, je lui expliquai que j’étais seul aussi. L’alcool aidant, la discussion dériva sur des choses plus intimes, la solitude, le manque de tendresse. Nos regards étaient rivés l’un à l’autre, je la sentais troublée, je m’enhardis à poser une main sur ...

... son genou, elle me laissa faire, je remontais ma main doucement sous sa jupe, cette envie ne m’avait pas quitté depuis le moment ou je l’avais suivie dans l’escalier, ma main atteignit la lisière de ses bas, je relevais le bord de sa jupe, je découvris la chair rose de ses cuisses juste au-dessus de la dentelle, ma main continua son ascension jusqu’à son entrejambe, sa peau était douce. Je la vis fermer les yeux, attentive à ma caresse… mais elle ne fit rien pour m’arrêter. Ma main remonta encore, je sentis la chaleur de son sexe moite au travers de sa culotte, elle gémit quand je touchai le renflement de sa chatte. Dans mon pantalon, c’était la révolution, mon sexe était dur et n’avait qu’une envie, sortir de sa prison. Je glissai un doigt sous la lisière de la culotte, je caressai ses lèvres gonflées, mon doigt glissa plus bas jusqu’à l’entrée de sa grotte déjà tout humide, elle frissonna. Je continuai ma caresse, remontant vers son clitoris durci de désir, elle gémit et se contracta. Je l’allongeai sur le divan, je relevai complètement sa jupe, je fis glisser sa petite culotte de long de ses jambes, elle écarta légèrement les jambes, j’avais face à moi une femme offerte et impudique, tout à son envie d’avoir du plaisir. Je me penchai vers elle, je posai ma langue sur son sexe humide, avec le bout de ma langue je titillai directement son clitoris gorgé de plaisir, je la léchai de bas en haut, goûtant à sa jouissance sucrée, je respirais son odeur de femme avide de jouir. ...