1. Rubans


    Datte: 22/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... s'effacer de son visage. J'aurais dû exercer plus de tact ; cette possibilité ne lui était de toute évidence jamais venue à l'esprit. Comment avais-je pu être aussi naïve? VII Au début, l'eau du bain était chaude, et la vapeur qui s'en échappait faisait perler la sueur sur notre peau ; malgré cela, nous étions parfaitement immobiles, s'observant l'un l'autre comme le feraient une mangouste et un cobra prêts à bondir l'un sur l'autre. Je frappai la première. «Lève toi, chéri,» ordonnai-je, prenant l'initiative. Il se leva, l'eau dégoulinant le long de ses longues jambes, et s'assit sur le rebord de la baignoire. Je regardais sa forme parfaite émerger de l'eau, et je ne pus m'empêcher de me dire que nombre de femmes, moi incluse, tueraient pour avoir de telles jambes. Me tenant à genoux, je pris un savon et commença à en enduire son corps, commençant par ses pieds tout en montant lentement, évitant délibérément les parties les plus importantes. «Tu aimes, chéri? Tu me sens près de ta bite?» Demandai-je en levant les yeux pleins d'amour vers lui, griffant son torse de mes ongles finement polis. Ma voix et mes écorchures bénignes l'excitaient, ou du moins son dard gonflé semblait l'indiquer. L'eau du bain avait eu l'effet désiré, car la chaleur qui s'en était dégagée plus tôt s'était lovée autour de ses testicules, les faisant pendre dans leurs sacs. La serviette s'invita là et je l'essuyai entièrement. Tenant ses délicates testicules d'une main ferme, je les chauffai à ...
    ... l'aide du tissu. Je savais que cela lui plaisait, et il gémit doucement de plaisir. Je repensais à la première fois que l'on avait fait ce rite purifiant, où Marcel m'avait surprise en me murmurant «ma geisha» à l'oreille. Un commentaire étonnant, m'étais-je dite alors, mais avec le temps je me mise à apprécier ce qu'il impliquait ; le fait qu'il trouvait en moi ce que d'autres cherchaient au coin de rues sombres. Étrangement, la remarque avait renforcé notre intimité, et je n'en voulais que plus lui faire plaisir. L'amour change le sexe. Mes partenaires précédents n'avait pas eu une grande importance pour moi et je ne m'étais pas souciée qu'ils puissent me quitter, mais tout était différent avec lui. Je l'aimais, et je voulais qu'il reste avec moi pour toujours ; aussi mes mains prenaient leur travail bien plus à coeur. J'aimais bien le corps de Marcel. Je ne sais pas pourquoi, mais j'aimais le fait qu'il ne soit pas circoncis, la taille de son sexe ou la puissance de ses coups de boutoir me coupant le souffle. J'adorais cette impression d'être complète quand il me pénétrait. Il me perçait, et au sommet de notre passion, explorait ma bouche de sa langue, mon cul de son doigt et ma chatte de son pénis. Je le regardais, savonnant mes mains. Ses yeux à demi voilés se fixèrent sur les miens alors que j'appliquais la mousse sur son scrotum. «Tu veux que je joue avec?», demandai-je en approchant de son pénis glissant. C'était une question de rhétorique, évidemment. C'était un petit ...
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